Graphiques -  Annexe 1

I.    Les Cycles longs 
      Distance et inclinaison par rapport au rayonnement solaire émis.

Les variations de températures à long terme connues sous le nom de " Cycles de Milankovitch " dépendent de 3 paramètres:
Variations de la forme de l'orbite elliptique que décrit la terre autour du soleil. (excentricité)
Variations de l' inclinaison de l'axe de la terre. (obliquité)
Variations liées à l' effet toupie de l'axe de notre terre, qui n'est pas parfaitement ronde. (précession)

La combinaison de ces 3 paramètres imbriqués est principalement responsable des différents cycles glaciaires et interglaciaires pour un hémisphère donné de notre planète. ( théorie validée sur l.000.000.000 d'années par l'analyse des couches glaciaires aux pôles ( et notamment par le forage Vostok en antarctique ).

Actuellement l'orbite de la terre est une ellipse presque circulaire et l'axe de rotation moyen, d'où des saisons moins marquées. Dans les grandes lignes on compte sur les cycles récents des périodes glaciaires tous les 100.000 ans entrecoupées cycliquement d'une période interglaciaire d'une durée de 10.000 ans environ.

 

 

Corrélation entre les cycles de Milankovitch et les époques glaciaires
sur 1 million d'années
 

 

Evolution du climat en millions d'années

Ce shema montre l'alternance des périodes chaudes et froides sur le très long terme.
Le premier réchauffement correspond à l'ère cambrienne et l'explosion de la vie sur Terre il y a  550 millions d'années (ma)
 Ce réchauffement global est entrecoupé de périodes de glaciations (cool) tous les 150 ma environ:
Ordovicienne vers -450ma.  Carbonifère de -350 à -250ma. Juracique de -170 à -110ma. Actuelle depuis -30ma.
A l'intérieur de l'ère glaciaire actuelle nous sommes depuis 12.000 ans dans un stade de réchauffement qui peut durer encore quelques milliers d'années. Ces stades intermédiaires se succèdent par cycles à l'intérieur des grandes éres climatiques.
 (voir Variations climatiques au Quaternaire )

 

Alternance des périodes de réchauffement et de refroidissement climatique

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Hors  texte

  (on oublie ici notre bouclier magnétique et autre bombardement de particules qui pourtant ne sont pas neutres notamment dans la formation des nuages).

  La première de ces méthodes, mise en avant par les climatologues du GIEC et ses adeptes et dont on vous rebat les oreilles en vous affirmant qu'elle est incontournable, repose sur l'utilisation exclusive de modèles d'ordinateurs dits GCM (Global Circulation Model ou modèles de circulation générale). C'est ce que l'on appelle des modèles "déterministes" en ce sens que l'on présuppose que l'on est capable d'élaborer des simulations numériques du climat du temps présent et du futur, à partir des tout premiers principes. Cela suppose que l'on a tout compris des mouvements de l'atmosphère et des océans et que l'on sait tout sur les équations et les multiples paramètres qui influencent le climat et aussi, sur les nombreuses réponses (rétroactions) positives ou négatives des différents composantes de la planète (terres, océans, biotas etc.). Ce sont ces modèles déterministes qui sont utilisés, en particulier et parmi bien d'autres, par les ingénieurs de Météo-France qui ont extrapolés les modèles classiques utilisée par la météorologie (tel que ARPEGE-climat qui est un avatar de ARPEGEmétéorologie) pour essayer de prédire le climat... dans cent ans. Compte tenu de l'extraordinaire complexité du problème climatique et du grand nombre d'inconnues, il est clair pour des milliers de scientifiques rigoureux que le résultat d'un tel exercice ne peut-être qu'extrêmement hasardeux (voir ici). Cette méthode aboutit, en général, à ce que l'on appelle des "projections" ou encore à des "scénarios" et non à des "prévisions" comme beaucoup le pensent, à tort.

la température de la terre n'a JAMAIS été stable, même sur de courtes périodes de temps. Elle a constamment varié de plusieurs dixièmes de degré, voire de plusieurs degrés, au cours des milliards d'années écoulées et continuera sans aucun doute à le faire, au gré des influences naturelles dont on ne vous parle jamais. Il est donc stupide de s'alarmer quand la température de la planète augmente de quelques dixièmes de degré en quelques décennies (comme à présent) ou diminue d'autant comme elle l'a fait de 1940 à 1975 (voir ici). En réalité, elle fait cela depuis la nuit des temps... 

Hors  sujet

  (on oublie ici notre bouclier magnétique et autre bombardement de particules qui pourtant ne sont pas neutres notamment dans la formation des nuages).

  La première de ces méthodes, mise en avant par les climatologues du GIEC et ses adeptes et dont on vous rebat les oreilles en vous affirmant qu'elle est incontournable, repose sur l'utilisation exclusive de modèles d'ordinateurs dits GCM (Global Circulation Model ou modèles de circulation générale). C'est ce que l'on appelle des modèles "déterministes" en ce sens que l'on présuppose que l'on est capable d'élaborer des simulations numériques du climat du temps présent et du futur, à partir des tout premiers principes. Cela suppose que l'on a tout compris des mouvements de l'atmosphère et des océans et que l'on sait tout sur les équations et les multiples paramètres qui influencent le climat et aussi, sur les nombreuses réponses (rétroactions) positives ou négatives des différents composantes de la planète (terres, océans, biotas etc.). Ce sont ces modèles déterministes qui sont utilisés, en particulier et parmi bien d'autres, par les ingénieurs de Météo-France qui ont extrapolés les modèles classiques utilisée par la météorologie (tel que ARPEGE-climat qui est un avatar de ARPEGEmétéorologie) pour essayer de prédire le climat... dans cent ans. Compte tenu de l'extraordinaire complexité du problème climatique et du grand nombre d'inconnues, il est clair pour des milliers de scientifiques rigoureux que le résultat d'un tel exercice ne peut-être qu'extrêmement hasardeux (voir ici). Cette méthode aboutit, en général, à ce que l'on appelle des "projections" ou encore à des "scénarios" et non à des "prévisions" comme beaucoup le pensent, à tort.

la température de la terre n'a JAMAIS été stable, même sur de courtes périodes de temps. Elle a constamment varié de plusieurs dixièmes de degré, voire de plusieurs degrés, au cours des milliards d'années écoulées et continuera sans aucun doute à le faire, au gré des influences naturelles dont on ne vous parle jamais. Il est donc stupide de s'alarmer quand la température de la planète augmente de quelques dixièmes de degré en quelques décennies (comme à présent) ou diminue d'autant comme elle l'a fait de 1940 à 1975 (voir ici). En réalité, elle fait cela depuis la nuit des temps... 

 

courants oceanique pl   ancton/nuage +60%  el nino    70% oiseaux marins depuis1950 - déchets plastique=rar&action poissons

volcans meteo volcan 2500 ans facteurs dominants

A écouter tout ce petit monde on en déduit qu'avant la température de la planète était stable et qu'actuellement elle bouge uniquement à cause de l' homme. En grattant un peu on découvre que depuis des milliards d'années la température évolue sans cesse et qu'il en sera ainsi même des milliards d'années après la disparition de notre espèce éphémère.

Loin de moi l' idée de blanchir l'homme moderne de toute influence sur l'un des facteurs qui déterminerai la température du globe à un instant donné, ni encore moins de clamer que le gaz carbonique est bon pour la santé, à défaut de savoir son influence actuelle réelle sur le climat.
Je pense par contre que la folie destructrice de notre habitat terrestre, au nom du profit financier maximum immédiat et d'une surpopulation humaine de plus en plus conditionnée pour consommer frénétiquement tout et n'importe quoi,  est une préoccupation majeure. Préoccupation plus importante encore que la seule variation éventuelle de la température, qui n'est que l'arbre qui cache la forêt comme pour faire oublier tous les autres dégâts réels commis actuellement par l'homme tels par exemple la destruction inexorable des autres formes de vie animale ou végétale, pourtant habitants à part entière d'une  planète qui n'est pas uniquement celle des homos.