I. Les
Cycles longs La combinaison de ces 3 paramètres imbriqués est principalement responsable des différents cycles glaciaires et interglaciaires pour un hémisphère donné de notre planète. ( théorie validée sur l.000.000.000 d'années par l'analyse des couches glaciaires aux pôles ( et notamment par le forage Vostok en antarctique ). Actuellement l'orbite de la terre est une ellipse presque circulaire
et l'axe de rotation moyen, d'où des saisons moins marquées. Dans
les grandes lignes on compte sur les cycles récents des périodes
glaciaires tous les 100.000 ans entrecoupées cycliquement
d'une période
interglaciaire d'une durée de 10.000 ans environ.
Corrélation
entre les cycles de Milankovitch et les époques
glaciaires
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Hors texte
(on oublie ici notre bouclier magnétique et autre bombardement de particules qui pourtant ne sont pas neutres notamment dans la formation des nuages).
La première de ces méthodes, mise en avant par les climatologues du GIEC et ses adeptes et dont on vous rebat les oreilles en vous affirmant qu'elle est incontournable, repose sur l'utilisation exclusive de modèles d'ordinateurs dits GCM (Global Circulation Model ou modèles de circulation générale). C'est ce que l'on appelle des modèles "déterministes" en ce sens que l'on présuppose que l'on est capable d'élaborer des simulations numériques du climat du temps présent et du futur, à partir des tout premiers principes. Cela suppose que l'on a tout compris des mouvements de l'atmosphère et des océans et que l'on sait tout sur les équations et les multiples paramètres qui influencent le climat et aussi, sur les nombreuses réponses (rétroactions) positives ou négatives des différents composantes de la planète (terres, océans, biotas etc.). Ce sont ces modèles déterministes qui sont utilisés, en particulier et parmi bien d'autres, par les ingénieurs de Météo-France qui ont extrapolés les modèles classiques utilisée par la météorologie (tel que ARPEGE-climat qui est un avatar de ARPEGEmétéorologie) pour essayer de prédire le climat... dans cent ans. Compte tenu de l'extraordinaire complexité du problème climatique et du grand nombre d'inconnues, il est clair pour des milliers de scientifiques rigoureux que le résultat d'un tel exercice ne peut-être qu'extrêmement hasardeux (voir ici). Cette méthode aboutit, en général, à ce que l'on appelle des "projections" ou encore à des "scénarios" et non à des "prévisions" comme beaucoup le pensent, à tort.
Hors sujet
(on oublie ici notre bouclier magnétique et autre bombardement de particules qui pourtant ne sont pas neutres notamment dans la formation des nuages).
La première de ces méthodes, mise en avant par les climatologues du GIEC et ses adeptes et dont on vous rebat les oreilles en vous affirmant qu'elle est incontournable, repose sur l'utilisation exclusive de modèles d'ordinateurs dits GCM (Global Circulation Model ou modèles de circulation générale). C'est ce que l'on appelle des modèles "déterministes" en ce sens que l'on présuppose que l'on est capable d'élaborer des simulations numériques du climat du temps présent et du futur, à partir des tout premiers principes. Cela suppose que l'on a tout compris des mouvements de l'atmosphère et des océans et que l'on sait tout sur les équations et les multiples paramètres qui influencent le climat et aussi, sur les nombreuses réponses (rétroactions) positives ou négatives des différents composantes de la planète (terres, océans, biotas etc.). Ce sont ces modèles déterministes qui sont utilisés, en particulier et parmi bien d'autres, par les ingénieurs de Météo-France qui ont extrapolés les modèles classiques utilisée par la météorologie (tel que ARPEGE-climat qui est un avatar de ARPEGEmétéorologie) pour essayer de prédire le climat... dans cent ans. Compte tenu de l'extraordinaire complexité du problème climatique et du grand nombre d'inconnues, il est clair pour des milliers de scientifiques rigoureux que le résultat d'un tel exercice ne peut-être qu'extrêmement hasardeux (voir ici). Cette méthode aboutit, en général, à ce que l'on appelle des "projections" ou encore à des "scénarios" et non à des "prévisions" comme beaucoup le pensent, à tort.
courants oceanique pl ancton/nuage +60% el nino 70% oiseaux marins depuis1950 - déchets plastique=rar&action poissons
volcans meteo volcan 2500 ans facteurs dominants
A écouter tout ce petit monde on en déduit qu'avant la température de la planète était stable et qu'actuellement elle bouge uniquement à cause de l' homme. En grattant un peu on découvre que depuis des milliards d'années la température évolue sans cesse et qu'il en sera ainsi même des milliards d'années après la disparition de notre espèce éphémère.
Loin de moi l' idée de blanchir
l'homme moderne de toute influence sur l'un des facteurs
qui déterminerai la température du globe à
un instant donné, ni encore moins de clamer que
le gaz carbonique est bon pour la santé, à
défaut de savoir son influence actuelle réelle
sur le climat.
Je pense par contre que la folie
destructrice de notre habitat terrestre, au nom du
profit financier maximum immédiat et d'une surpopulation humaine
de plus en plus conditionnée pour consommer frénétiquement
tout et n'importe quoi,
est une préoccupation majeure. Préoccupation
plus importante encore que la seule variation éventuelle
de la température, qui n'est que l'arbre qui cache la forêt comme
pour faire oublier tous les autres dégâts réels
commis actuellement par l'homme tels par exemple la
destruction inexorable des autres formes de vie animale
ou végétale, pourtant habitants à
part entière d'une planète
qui n'est pas uniquement celle des homos.