La société d'aujourd'hui expliquée à mon grand-père

Introduction

Famille

Sexe

Culture

Sciences

Les 2 mondes


 

                            

Les courants de pensée des deux mondes

I.   Le monde des Anciens Hommes Blancs

II. Le monde des Minorités Actives
        - Le sexe   Féminisation  Diffamation
        - La race   Police  Colonisation 
        - 
L'insécurité   L'impunité   Les responsables
        - L'Islam
        - La Cancel culture

III. L'Envers du décor:  QI   Américanisation   Africanisation    Universités    Internet 


En synthèse des pages précédentes, nous résumerons pour grand-père la compréhension de la société occidentale d'aujourd'hui, qui principalement se réduit à deux courants de pensée :
- Celui représentant la tradition et l'attachement au sol, que nous appellerons : Le monde des anciens Hommes Blancs
-
Celui dit progressiste, des forces émergentes du néoféminisme et de l'immigration, porté par le capitalisme ultra-libéral prônant l'égalité de tout en tout dans un monde globalisé sans frontière. Nous l'appelerons :  Le monde des minorités actives.

Deux points de vue inconciliables qui se font face

 

I. Le monde des Anciens Hommes Blancs

Ce premier courant de pensée, nous l'appellerons le monde d'avant ou le monde des anciens Hommes Blancs.
C'est celui de grand-père, de tous ceux aimaient vivre dans un pays souverain, maître de ses frontières et commerçant avec d'autres pays, d'égal à égal. Le pays du "chacun chez soi" en bon voisinage.
C'est celui du monde binaire des droits et des devoirs, à l'opposé de la société individualiste libérale.
Celui du pays où on appelle un chat un chat, où l'on ne trait pas le taureau, et où homme et femme vivent en complémentarité y compris dans l'éducation des enfants. L'autorité pour le père, la douceur pour la mère.
L'avancement dans le rang social est basé sur le mérite. Non sur des critères de race, sexe ou religion.
Ce Gaulois, coureur de jupon et moqueur, a les 2 défauts interdits dans l'autre monde.
Il est aussi une personne liée à une culture et un passé qu'il ne songe pas à réécrire pour en effacer les traces, pas plus qu'à démolir le Colisée de Rome sous prétexte qu'un jour les Romains ont colonisé la Gaule !
C'est le terroir des Jean Gabin et Marcel Pagnol, Descartes Voltaire et Montesquieu, Lavoisier et Pasteur.

Ce monde toujours bien présent au coeur d'une partie des anciens hommes blancs, est maintenant peu représenté dans la classe politique, à l'exception de l'extrême droite. Il n'a aucune faveur des médias, télé, magazines ou autres.
Toutes les propagandes lui sont hostiles, car l'Occident est resté traumatisé par Hitler et aujourd'hui toute personne aimant son pays est qualifiée de nationaliste, souverainiste, fasciste, nazi, d'ennemi de la République.

 

II. Le monde des Minorités Actives
 C'est aussi celui de la société individualiste libérale
.
Ce monde en pleine expansion est plus complexe à décrire, car il est le point de convergence de différents courants émergents.
Il est facilement identifiable, car totalement obsédé par le sexe et la race.
Son arme la victimisation et son atout l'impunité ont trouvé chez nous un terrain très favorable pour s'épanouir.


Commençons par le sexe.
Aujourd'hui en Occident, la femme a atteint l'égalité avec l'homme, elle fait les mêmes métiers, boit les mêmes bières, fait de la politique et joue au rugby. Il restait à régler l'homogénéité des salaires, à poste et temps de travail égaux, ce qui relève de la lutte syndicale employées-employeurs et non de la lutte des sexes. (quotas)
Tout était donc bien et la complémentarité entre homme et femme qui régnait sur notre espèce depuis que nous vivions dans les arbres, avait été balayée en moins d'un siècle de progrès. Personne n'a encore osé décrire les conséquences de ce changement radical.
Mais nos néoféministes californiennes ont voulu aller plus loin. Galvanisées par le souffle de la conquête et de puissants lobbies, elles ont vite compris que l'égalité des sexes mettait en évidence qu'il y avait deux chefs à la maison, un peu comme deux commandants à la barre du même bateau. L'égalité c'est bien, mais il n'y a de place que pour un dominant dans la nature.
D'où l'idée aussi diabolique que néoféministe, de dévaloriser l'homme pour ne plus partager le pouvoir nouvellement acquis.
Deux moyens pour y parvenir : soit féminiser le mâle, soit le traîner en justice pour sexisme.

Ce trait de génie, né dans les universités californiennes, s'est propagé en traînée de poudre dans les medias.  On est encore plus égal quand on abaisse l'autre !

 

 

C'est ainsi que l'on passe de l'émancipation de la femme à l'égalité des sexes, puis de "la femme est un homme comme les autres" jusqu'à l'étape finale où "l'homme doit devenir une femme comme les autres".
Pour faire de la femme un homme et féminiser les mâles, on va créer la théorie des genres de tout acabit, étalant sa gamme de sexes dans toutes les nuances de l'arc-en-ciel LGBTQIA+XYZ, style différentes variétés de transgenres et trans-tout.
Dans cette arche de Noé des minorités, sont bienvenus tous ceux qui tel le chat de Schrödinger peuvent superposer plusieurs états à la fois.
Le jeu final étant de démontrer que l' homme de sexe masculin ne représente qu'une infime part des choses dans le monde nouveau.
Après le nombre, pour majorer l'importance des genres il suffit de prendre des cas particuliers minoritaires dont vous faites la norme à la mode. Celle que vous mettrez en avant et qui primera sur toutes les autres.
Par exemple mettre en valeur tout ce qui n'est pas un homme hétérosexuel, autrefois qualifié de "normal", prenons au hasard les homosexuels. C'est banal il y en toujours eu, mais ils étaient discrets, faisaient leurs affaires entre eux et s'exhibaient rarement sur la place publique.
Tout à coup, vous en faites des vedettes qui défilent les fesses à l'air sur des chars telles des rock-stars du progrès, des exemples pour l'avenir des jeunes !

a coupé zizi

On va aussi développer la théorie de l'homme qui ignore qu'il n'est pas un homme à part entière.
Il se trompe sur son sexe, ou du moins son genre pour reprendre le langage à la mode.
Partant du postulat que tous mâles portent en eux 50 nuances de féminité, que dans chaque garçon il y a une fille qui s'ignore et que le sexe n'est qu'une construction sociétale de l'esprit, la solution est simple :.
Pour rendre l'homme bon, il suffit de le féminiser et d'éveiller en lui sa part androgyne. Dès l'enfance, ce garnement doit apprendre à jouer à la poupée.
On va mettre en avant tous les hommes qui n'en sont pas vraiment. Les catalogues de mode sont édifiants à ce sujet. Ces hommes nouveaux pas trop virils vont devenir la nouvelle norme, reléguant au passé à bannir, l'homme de cromagnon qu'était grand père.

Du coup disparue l'autorité paternelle si redoutée des temps jadis, l'enfant peut enfin s'épanouir sans borne.
Les mauvaises langues diraient sans repère non plus ! Plus d'autorité à l'école, ni trop ailleurs non plus, tout est censé être dans la
communication. L'important, partout et en même temps, est de ne pas appeler un chat un chat. Tout est diplomatie nuance et doigté. On se noie dans des phrases de dix kilomètres de long pour contourner le jugement clair et plus encore une décision ferme.

L'homme nouveau sans autorité a enfin toute sa place dans la société moderne,  progressiste et javellisée.
Et voilà ! couic le zizi avec la bénédiction de toute la bien-pensance puritaine mondalisée....
Bien sûr, il ne s'agissait pour la feministe occidentale que de régler le sort de son rival, le mâle occidental.
Celui qui voudrait encore exister après la conquête de "l'égalité" des sexes.
Les autres, qu'ils soient d'Afrique, islamistes ou gitans, on ne s'y frotte pas. Pas folle la guêpe !


Mais que faire pour achever les mâles réfractaires que l'on a pas réussi à féminiser ?
Simple, il suffit de leur reprocher l'autorité naturelle et de les accuser de tous les maux en dénonçant à la vindicte populaire ces reliques sexistes de l'Ancien Régime. 
Pour abattre définitivement le concurrent vous en faites un épouvantail à moineaux, responsable de tous les fléaux et discriminations dont auraient été victimes toutes les ceux/celles qui n'étaient pas des mâles dominants. Haro sur tous les dos argentés qui à travers les âges ont dominés dans leur clan, les femelles comme les 50 subtilités de genres.
A ce titre, tous les opprimé.e.s du passé ont droit aujourd'hui à toutes les compensations. En filigrane :
"comme nous les femmes jadis minorité sans droit, dans un monde fait par les hommes, pour les hommes ".
C'est la faute de l'homme occidental si aujourd'hui nous avons le droit légitime au nom du passé, de tout lui prendre, puisqu'avant il ne partageait rien.

Cette idée de compensation intemporelle deviendra vite une idéologie dominante.

C'est cet être rustre et brutal, source de tous les maux, qu'il faut abattre, car il est l'obstacle au Progrès.
D'ailleurs, tout le monde le sait, l'Homme est mauvais, si mauvais qu'il faut chaque jour de nouvelles lois s'en protéger.
Il est même mauvais en tout, il tue les femmes, il viole tout ce qui bouge, il n'a de cesse de mettre les mains aux fesses 30 ans plus tôt. On dit même qu'il mange les petits enfants dans la forêt.
Il est l'auteur de tous les crimes en phobe et en cide.
Il ose encore draguer les filles, comme s'il ignorait que seule la néoféministe libérée a le droit de choisir son partenaire.
Il n'a même pas compris qu'elle avait le droit de se promener les fesses à l'air, mais que lui n'avait plus le droit de saliver !
Il faut toujours plus de procès et de délations, de dénonciations rétroactives en tous genres pour s'en protéger.


     

Il faut dire à propos des armes de délation, #MeToo et autres #balance ton mec, que nos collabos nazis pendant la guerre étaient des enfants de coeur. Comme aux pires heures de Vichy, des dictatures sans pitié de Staline ou de Mao, on peut même aujourd'hui encourager des enfants à dénoncer leurs parents !
Cette ultime étape de la diffamation est présentée comme une libération et un progrès de notre civilisation.
Il faut que notre société soit arrivée à un état de décadence très avancée, pour qu'une telle honte ne nous fasse même plus réagir.
C'est cette chasse à l'homme et cette victimisation permanente au nom du passé, qui est maintenant la base des rapports sociaux dans la guerre pour la suprématie lancée par les féministes.

Avant de quitter ce paragraphe, il faut noter que comme dans toute conquête, le nouvel arrivant se doit de marquer son territoire.

Ici, c'est la langue française qui en a fait les frais.
La féministe étant devenue un homme comme les autres, elle exerce donc aussi des métiers d'homme comme charpentier, menuisier ou sapeur pompier. Victoire de l'égalité enfin acquise et de l'effacement des différences, on aurait pu penser que le nom de la profession soit maintenu sans distinction du sexe de la personne qui l'occupe.
Et bien non, nos amazones ont souhaité créer une différence là où il n'y en avait plus, en distingant par un nouveau nom, la profession si elle est exercée par une femme. C'est ainsi que nous avons vu naître des sapeuses-pompières, écrivaines, plombières...  !

La logique féminine, qui avait tant mystifié nos ancêtres à travers les siècles, ne manquant pas de ressources, c'est l'orthographe même de notre langue française qui devint illisible. On ajouta à la fin de chaque mot masculin une terminaison en .e.s !
Fier devint fier.ère.s, agriculteur.rice.s, inclus.e.s, officier.ère.s, etc.e.s. !
Même i
l devint iel, et ceux ou celles devinrent celleux !
C'est-à-dire, un truc complètement imbuvable, baptisé écriture inclusive, dégendrée (ou déjantée), épicène ou non-sexiste.
Comme si nos bambins n'avaient pas assez de mal pour apprendre un peu à lire et à écrire !

Inutile de rappeler que tout ceci s'accompagne de mesures et de lois pour que les notions de hiérarchie dans tous les domaines de la société ne soit plus basées sur le mérite, mais sur la discrimination sexuelle en faveur de la gente féminine et des innombrables nouveaux genres. 

L'élément de critère de sélection déterminant devient le sexe, un comble pour celles qui disaient vouloir l'unisexe !

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Le racisme
Après l'Homme ennemi de la femme, l'Homme ennemi des non-blancs (les racisés dans leur langage) :

L'idéologie qui tend vers des clones terriens identiques en tout, a trouvé son écho dans le courant ultra libéral européaniste et mondialiste au pouvoir, qui abolit les nations et toutes différences entre les peuples de la planète. Plus de différences entre les hommes, mais aussi plus de passé historique, plus de cultures, plus de particularités héritées des modes de vie ou des lois de l'adaptation au milieu. Tous les Terriens sont, sans distinction de sexe ou d'origine, des courbes sur des tableaux Excel. Tous sont absolument identiques et permutables comme des pièces de légo. Javellisés et proprement formatés.
Uni-sexe, uni-race, uni-inculture, uni-tout.

Bien sûr ce monde parfait, où tous les êtres et les peuples sont identiques a trouvé ses limites, et du coup il est devenu inexplicable qu'en Occident, dans une civilisation forgée à travers les siècles par des peuples occidentaux pour des peuples occidentaux, certains aujourd'hui soient moins bien adaptés au milieu que d'autres.
Comme souvent les moins bien lotis sont les nouveaux arrivants, issus de peuples non-occidentaux, on en déduit que c'est une question de couleur de peau.

Pour expliquer leurs propres échecs ou lacunes, "les racisés" vont développer un statut de victimisation chronique, non plus liée à la lutte des classes mais à la lutte des races.
Tout sera vu au travers du prisme de la race et de la couleur de peau.
Ici la race remplace le sexe du paragraphe précédent, mais les armes utilisées sont les mêmes... ce n'est pas ma faute, c'est celle de l'homme occidental.
Dans leur argumentaire il existe une ambiguïté entre les mots : égaux, pareils, clones identiques, inférieurs et supérieurs.

"C'est parce qu'on est pas blanc, qu'on est brimé".
Le blanc est par sa couleur de peau systématiquement coupable et le Noir serait sa victime désignée à travers les âges.
"D'ailleurs les blancs nous ont toujours dominés. Nous avons une revanche à prendre.
Nous avons tous les droits au nom du passé. Si nous ne sommes pas au sommet de l'échelle dans la société occidentale, c'est de leur faute."

Et voilà resurgir l'idéologie de la compensation, de la victimisation et du bouc émissaire


 

Si l'homme occidental est l'ennemi de la femme et cause de toutes ses misères, l'homme occidental est aussi à cause de la couleur de sa peau, le responsable et la cause de toutes les misères des "racisés".
Tout est mauvais chez l'homme blanc, tout y compris son passé, les statues de ses grands hommes, les oeuvres littéraires et même les oeuvres musicales, telle ces symphonies de Beethoven "dont la complexité de la musique classique est un symbole de l'élitisme dont sont exclus les minorités" . (je cite) !

Comme on l'a vu avec le féminisme, cette idéologie conduit, comme toujours dans les croisades, a d'abord effacer les monuments et les traces de l'ancienne civilisation. Cela s'est toujours passé ainsi dans les livres d'histoire et il n'y a pas de raison pour que cela soit différent de nos jours.
C'est ainsi dans la nature, il faut marquer son territoire comme notre bon toutou plus haut. Tout comme
le vaincu doit mettre genou à terre devant le nouveau dominant, ici l'idéologie de la victimisation.

Deux cibles sont particulièrement visées. La police et la colonisation.
La police parce que son travail est d'arrêter manu militari les malfaiteurs dont malheureusement le profil n'est pas toujours clair.
D'où la conclusion hâtive que la police est raciste,
comme si c'était elle qui était responsable de l'origine ou de la couleur de peau des délinquants !
Evidemment toute la petite racaille et autres vendeurs de drogue ont tout intérêt à discréditer la police et même à demander qu'elle soit désarmée ! On comprend les demandeurs !

Ils ont pour alliés des étudiants en mal d'idéal et des marginaux en mal de tout, braillant dans les manifestations : "
tout le monde déteste la police", soutenus par les partis d'extrême gauche en mal d'une clientèle de nouveaux opprimés à défendre.

Dans une mode venue des Amériques, il faudrait même s'agenouiller pour honorer les hors-la-loi et blâmer les représentants de la force publique, usant justement comme leur nom l'indique, de la force publique pour faire appliquer la loi et nous protéger !
Trente
policiers sont agressés et blessés chaque jour en France, sans une larme sur Facebook pourtant si prompt à s'émouvoir et s'enflammer en sens inverse.

A vouloir toujours protéger les voyous, qui demain va protéger les braves gens ?

 

A part la police, l'autre grand cheval de bataille de la victimisation des racisés est la période coloniale.
Là, je suis en partie d'accord avec eux.
Qu'est-on allé faire dans ces contrées lointaines qui à l'époque vivaient heureuses dans le néolithique.
Quelle idée imbécile que d'avoir voulu les "civiliser" pour les amener à notre époque et conception du monde.
Quelle perte de temps que d'avoir sur leur sol construit des écoles, des hôpitaux, des maternités, des routes et ponts, des ports et des aéroports. De les avoir vaccinés contre les maladies qui ravageaient leur population. Nous avons poussé la naïveté jusqu'à vouloir qu'ils soient français comme nous. C'en était trop, ils n'en voulaient pas. Ils ont choisi l'indépendance et ont brûlé le drapeau tricolore dans de grands feux de joie pour célébrer l'heureux événement.

Je les comprends et les approuve, moi qui voudrais tant que mon pays se libère du joug de Bruxelles et retrouve son indépendance.


60 ans ont passé, on aurait pu penser que tous ces pays africains libérés du joug du colonisateur, se soient développés en nations indépendantes prospères ne demandant plus rien à personne.
Les peuples d'Asie du Sud-Est, eux aussi colonisés et indépendants depuis 60 ans, ont su faire preuve d'une remarquable adaptation au changement, leurs pays sont en pleine expansion économique et certains tels la Corée du Sud sont aujourd'hui aussi riches que la France !
On ne peut pas en dire autant des pays africains restés sous-developpés et dépendants de l'Occident, malgré l'aide à la formation et l'émancipation, les milliards versés ou les tonnes de vivres et de puits creusés par des myriades d'organismes humanitaires dévoués à leur chevet.
A qui la faute ? Comme pour la victimisation féministe, on a vu se développer des théories postcoloniales, déboulonnant la statue d'un ministre de Louis XIV, car ce serait à cause du passé des blancs que les "racisés" ne seraient pas aujourd'hui au sommet de l'échelle sociale capables de construire des nations dynamiques à l'image des pays asiatiques modernes.

Certes, mais cela mérite un peu de recul et de réflexions. Tous les peuples de la terre ont été un jour, colonisateur ou colonisé.
Au cours des âges, la France a été plusieurs fois colonisée, les tribus africaines se sont fait la guérilla pendant des millénaires pour coloniser la terre du voisin, enlever des femmes et des esclaves.
Pendant plus de mille ans les Arabes ont fait le trafic de millions d'esclaves noirs, ce que curieusement personne ne semble leur reprocher aujourd'hui.
Donc, en résumé dans la nouvelle idéologie, les méchants hommes blancs sont responsables des maux de tous ceux qu'ils ont dans le passé colonisés. Leurs grands hommes et tous ceux qui ont vécu "au temps des colonies" sont bannis et leurs fantômes ne doivent même plus hanter le nom des rues de France.
A
u sujet de la réalité du traumatisme postcolonial, on peut prendre l'exemple de l'archipel des Comores, indépendant depuis 1975. Seule l'île de Mayotte est restée sous le méchant joug colonial de la France. Hors, c'est vers cette île de Mayotte, "honte de la suprématie blanche", que les peuplades libres des iles indépendantes du reste de l'archipel, affluent depuis pour une vie meilleure !...

Il y a là un paradoxe. Pourquoi les victimes, une fois leur pays libéré du joug de l'oppresseur, viennent-elles vivre dans le pays de leur ancien bourreau. Celui dont justement elles n'appréciaient ni la civilisation, ni le mode de vie, ni la culture.
Ils sont des millions à vivre aujourd'hui, parfois clandestinement, dans notre pays dont ils avaient brûlé le drapeau !
Si je chasse hors de chez moi un indésirable dont je refuse la culture, ce n'est quand même pa
s pour aller habiter chez lui !

L'insécurité
Tous les immigrés ne sont pas des délinquants, mais 100% des attentats commis sur notre sol depuis 30 ans sont le fait de musulmans immigrés ou de français fils d'immigés. De plus, il faut remarquer que le remplacement de l'autorité virile par des idéologies bisounours, a eut des conséquences directes néfastes face à des populations importées dont la perception de la société est parfois basée sur le rapport de force permanent.
Tous les soirs dans une ou plusieurs villes de France éclatent des émeutes, scènes de guérillas urbaines, rixes entre bandes, voitures incendiées, commissariats et policiers attaqués par des tirs de mortier et cocktails-molotov, pompiers attirés dans des traquenards et caillassés, trafic de drogue jusqu'aux portes des écoles.
Toutes ces petites "incivilités" ne sont réprimandées que sur la pointe des pieds et en marchant sur des oeufs, car dans l'idéologie de la victimisation chronique, on ne touche pas les minorités opprimées. Surtout pas de vague "ça donnerait des voix au FN". L'instituteur qui se fait cracher à la figure gardera le silence, car pour sa hiérarchie et ses collègues, il est coupable, il faut savoir être souple, pédagogue et se fondre dans l'omerta.
Le policier ne poursuit plus le garnement qui fait des rodéos sur une moto volée, car si le petiot tombe par accident, le quartier sera en feu pendant des nuits entières et le policier devra rendre des comptes.
Surtout pas de vagues. Partout en France, il existe des zones, des quartiers ou des banlieues qui sont tenus par des dealers et où la police ne pénètre plus. Pas de vague, ne pas aller sur leur territoire les narguer !
Pour tous ces délinquants, la police française ne fait plus peur et ne représente qu'un simple gang concurrent parmi d'autres ou l'uniforme d'un Etat ennemi qui n'a pas à empiéter sur leur sol. (vidéo)
Le nombre et l'impunité faisant loi, la possession de territoires et la peur ont aujourd'hui changé de camp.

Les arrestations se feront avec des fleurs, sinon il faut mettre genou à terre pour s'en excuser. D'ailleurs pourquoi interpeller les voyous, ils seront relâchés par le juge avant que le policier finisse de remplir son rapport.
D'impunité en impunité sur des générations, on arrive aujourd'hui à des scènes d'inssurection, de guerre urbaine et certainement de guerre civile si l'on tentait de reconquérir ces anciens coins de France.

De plus il n'est pas toujours clair de faire la part entre l'ensauvagement de jeunes voyous, la montée en puissance des territoires de drogue et le Jihad.
Pour mémoire, les organisations terroristes islamistes ont depuis des années voulu importer le Jihad en France, et ont appelé les musulmans vivant sur notre sol à tuer les "sales français" : "Frappez sa tête avec une pierre, égorgez-le avec un couteau, écrasez-le avec votre voiture, jetez-le d'un lieu en hauteur...(source)". La police est particulièrement visée, par exemple dans les manifestations, "les loups solitaires" doivent entraîner la foule à haïr la police (source), ou plus récemment en offrant des récompenses pour tuer les policiers (source). (source Observatoire Memri)
Le problème majeur aujourd'hui en France est de trouver comment protéger la police qui protège les Français.


Depuis 40 ans, à toutes ces violences, on recherche les mêmes excuses à une tache d'huile toujours minimisée et ramenée à de pauvres "djeunes" individus isolés et un peu perdus dans ce monde moderne cruel.
A chaque fois on désigne les mêmes responsables: les parents, l'école, la justice, le chômage.

- Pour les parents, c'est clair :
En remplaçant la crainte de l'autorité paternelle par 50 nuances de féminisme, on est entré dans un monde sans punition réelle pour l'enfant, où la fessée est remplacée par une pédagogie naïve.
Place à l'enfant-roi en sucre qu'il ne faut pas traumatiser. Fixer des bornes à un bambin serait briser sa créativité.
Dès l'enfance, le marchandage remplace la sanction et l'on entre dans l'univers de l'impunité.
De plus dans les banlieues, c'est souvent la mère seule qui élève le délinquant dont le salaire de la drogue est un apport financier non-négligeable pour faire chauffer la marmite.

-   L'école, dont la mission initiale oubliée était d'apprendre à lire et à écrire aux élèves, est aujourd'hui chargée de corriger les inégalités de la société et de l'immigration. Mission impossible puisque là aussi, on a remplacé l'autorité incontestée du maître par des concepts de bisounours. Plus d'estrade, plus de bonnet d'âne, plus de coup de règle sur les doigts. Tout est dans l'indulgente compréhension d'un être qu'il ne faut pas traumatiser.
Ici aussi l'impunité doit régner pour ne pas rendre l'enfant malheureux, donc agressif. On connaît le résultat.

-  La justice, on l'a dit, doit être indulgente, car le châtiment rend plus méchant et les prisons sont pleines !
La justice est idéologiquement une fervente adepte de l'excuse et de l'individualisation humaniste des sentences.
C'est dans ces palais, qu'à travers l'individualisation des sanctions, l'idéologie de la victimisation trouve sa raison d'être pour tous nos guerrieros de banlieue. On n'y applique pas un tarif à payer par méfait catalogué, mais un prix réduit pour tenir compte de la jeunesse malheureuse du pauvre délinquant brimé... parfois cela se résume à un 20e rappel verbal pour indiquer, une fois de plus, au jeune hilare qu'il n'est pas bien de vendre de la drogue, de voler, piller ou d'attaquer toutes les nuits le poste de police aux cocktails Molotov !
"Bien connu des services de police, a été remis en liberté" dit la formule rituelle !
Véritable panier percé, la justice désarme et anéanti toute l'action de la police par la rapidité avec laquelle elle relâche les voyous dans la nature. A ce titre, elle porte une responsabilité écrasante dans la situation de crise actuelle.
Responsabilté partagée avec le pouvoir politique, plus enclin à la communication évanescente qu'à l'action efficace.
Il faut noter que dans nos prisons surpeuplées, les musulmans représentaient déjà en 2014, 60% des détenus. lire

-  Le chômage, il est pour tout le monde, mais plus encore pour ceux dont le QI ne fait pas des étincelles et qui ont préféré rester aux abonnés absents au fond de la classe durant toute leur jeunesse. 

 

A la liste de tous les opprimés injustement malheureux d'avoir à vivre dans un pays qui ne les comprend pas, il faut ajouter l'idéologie politique et juridique islamique. Elle est arrivée avec l'immigration de peuplement et accompagne la vie des banlieues où les Gaulois n'ont plus trop le droit de cité (jeu de mots).
A travers différentes associations sportives et culturelles elle structure l'activité des habitants et à travers les mosquées elle en cimente l'unité. Son idéologie juridique indique la loi dans la conception du monde et les différents détails matériels de la vie quotidienne, tel l'habillement ou la nourriture.

On assiste ainsi progressivement à une sorte de créations d'Etats dans l'Etat.
Cela n'est pas évident en France, dont la base même du pays repose sur la séparation du religieux, (qui est considéré comme appartenant à la sphère privée), et la conduite de la nation dictée par la Raison de l'Homme sans intervention divine depuis 1789.
En France, la foi relève de l'intimité profonde de chacun, et non du domaine public.

Ces deux conceptions très différentes de Civilisation et Société s'achoppent partout où elles se côtoient :
dans la rue sur le voile, à l'université sur les idées, à l'école un peu sur tout.

Nous avons nommé Laïcité cette séparation des pouvoirs, c'est un mot inconnu et incompris des autres peuples occidentaux qui tous jurent sur la bible, et ont des divinités extra-terrestres pour veiller au destin de leur nation : Dieu bénisse l'Amérique, Dieu sauve la Reine, etc.
Cette différence fondamentale, est tout aussi mal perçue par l'Islam radical qui considère la laïcité comme une idéologie concurrente et une religion de mécréant.
C'est avec l'insécurité, le point de friction principal entre "les deux mondes" de cette page.
Ici aussi on va retrouver la minorité opprimée, victime du méchant Français infidèle qui voudrait empêcher l'Islam de s'étendre dans son pays.

Ainsi que le rappelait le président turc Erdogan : "Les minarets sont nos baïonnettes, les mosquées sont nos casernes, les croyants sont nos soldats".


le nombre fait la loi, et à ce jeu là nous perdons un peu plus chaque jour.

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 La cancel culture
(cancel dans le sens de supprimer, éliminer, effacer, déconstruire / culture dans le sens d'en manquer complètement)

Cette idéologie nouvelle mérite un paragraphe bien à part  en tant qu'arme utilisée par les féministes et ceux qui se dénomment les racisés (non-blanc).
En complément de la victimisation, c'est l'arme d'attaque et d'adhésion contrainte favorite des minorités. Chassant en meute, elles utilisent massivement la dénonciation et la délation sur les réseaux sociaux et dans la vraie vie. Tout moment historique, comportement, parole ou idée qui pourrait heurter la sensibilité ou les convictions d'une personne ou d'un groupe issu des minorités de sexe ou de race, passe sous la moulinette de ces nouveaux tribunaux de Salem.
Il est offensant de faire mal au coeur à son interlocuteur en ayant une pensée différente de la sienne ou par une action même ancienne de plusieurs siècles, qui ne serait pas totalement conforme aujourd'hui à son point de vue.

Cette censure puritaine, à la chasse de la moindre impureté, est évidemment à sens unique et relèvre du domaine de la psychiatrie. Elle s'épannouit depuis les milieux hollywoodiens et universitaires vers tous les milieux pseudos intellectuels, la presse people et bien sûr les réseaux sociaux dont elle est à la fois l'enfant et l'un des principaux carburants.
Cette conseption des rapports sociaux est basée sur l'intolérence et la dénonciation afin de démolir l'autre, qu'il soit un individu mort ou vivant ou une civilisation actuelle ou passée. Cette nouvelle vision se dit progressiste (j'espère que celà ne vient pas du mot progrès).

La cancel culture à l'assaut de l'individu
C'est la dénonciation et la délation poussées au paroxisme sur les Facebook et autres, de tout individu soupçonné de n'être pas conforme, à un titre ou un autre, au moule de la pensée d'une minorité en vogue. Pour avoir volé un bisou sur la joue d'une jeune fille un soir de bal au village il y a 50  ans, votre nom sera placardé à la vindicte populaire, tel les "wanted" des affiches des vieux films cowboys. Vous serez poursuivi et banni à vie, peut importe d'ailleurs que la fille ait menti ou se soit simplement vantée. Votre vie sera foutu car la calomnie aura semé le doute.
Si par audace ou inconscience je contestai le slogan "Black lives matter" en argumentant que toutes les vies humaines comptent peut importe la couleur de peau, je serai sûrement pendu haut et court pour racisme anti-Noir.
Pour avoir écrit ce site je risque fort d'être jeté mille fois aux crocodiles du Nil, au nom du progressisme, de la libération de la parole et de la nouvelle liberté de penser.
Evidemment cette idéologie de la pensée unique coupe court à tout échange ou confrontation d'idée, puisqu'à partir du moment où on a un avis différent, on devient un ennemi à faire disparaître. Avouez que celà limite aussi les discussions de comptoir et toute entente entre le clan des Anciens Hommes Blancs et celui des Minorités

La cancel culture à l'assaut de la société
Cet aspect de déconstruction de notre société est plus inquiétante encore. Dans une machine à remonter le temps, manipulée par des incultes à l'ouverture d'esprit très étroite, l'Homme est sorti du contexte de son epoque pour être jugé selon les critères des féministes et racisés du XXIe siècle.
Le verdic est bien sûr toujours en adéquation avec la conclusion préalablement souhaitée :
"La civilisation occidentale est mauvaise parce qu'elle est l'oeuvre de l'homme blanc qui est fondamentalement mauvais".
C'est pourquoi même les morts n'échappent pas à la vengeance des nouveaux tribunaux auto-proclamés. En fait toute personne ayant par exemple vécu à l'époque coloniale, est un bourreau des racisés et doit en payer le prix. Les têtes connues doivent être tuées une seconde fois. De Napoléon à Colbert, de Georges Washington à Montesquieu, aucun ne doit échapper à la vague vengeresse. Ils doivent être effacés de nos mémoires, des frontons des écoles comme des noms de rue.
Ce délire de vengeance et de démolition va plus loin, lorsqu'il souhaite faire disparaitre de l'Histoire, les savants et philosophes de l'Antiquité, tous considés comme racistes, esclavagistes, colonisateurs, pédophiles, sexistes, misogines et j'en oublie.
Une
civilisation trop blanche, trop masculine, pas assez inclusive. Certains d'ailleurs se demandent s'il ne faudrait pas "canceler" les bases des mathématiques, des sciences et de la littérature concues par ces êtres impurs. Il faut réformer la société d'il y a 2000 ans.

Dans tous les cas aujourd'hui, c'est la société de l'homme blanc qui doit être modifiée ou éffacée.
Il est inconcevable qu'il n'y est pas autant de femmes et d'hommes de couleur que de blancs à la tête des grandes entreprises françaises. Injuste que tous les grands savants, inventeurs, décideurs, compositeurs d'oeuvres de peinture ou de musique classique, soient dans la civilisation occidentale... des occidentaux blancs. Cette injustice doit être montrée du doigt et déconstruite.
Place au progressisme, égalité des sexes et des races dans tous les domaines du savoir et du pouvoir. Des découvertes scientifiques les plus pointues à la composition des responsables de la planète.
Peu importe les compétences, toutes les minorités doivent y figurer à parts égales et au gramme près. Place à l'intelligence et l'esprit d'entreprendre, répartis équitablement entre toutes les cervelles des individus de la Terre, sans aucun laissé-pour-compte. Même Petit Gibus doit être chef.
Fini la méritocatie, place à l'utopique discrimination positive par le sexe et la race !

Dans le monde politique, le jeu de démolition de la Cancel culture est soutenu par les écologistes, la gauche et surtout l'extrême gauche qui à travers ses thèses sur l'anti-racisme et l'anti-islamisme favorise son allié d'un jour : l'Islamisme. Lequel a déjà toute prête dans sa lecture littérale du Coran une nouvelle organisation de remplacement pour la France déconstruite.

Autres alliés politiques de poids: les gagnants de la mondialisation heureuse, et autres illuminés de l'Européanisme triomphant des nations historiques, qui à travers le
Pacte de Marrakech ont organisé les grands flux migratoires de l'Afrique vers l'Europe.

On ne peut pas fermer ce paragraphe sur la déconstruction de la France en oubliant injustement notre actuel Président de la République pour lequel "la France n'a pas de Culture propre" et déclarant à la presse étrangère "qu'en France c'est la
question de la race, qui est au cœur même de notre société et qui crée beaucoup de tensions quand des gens sont fondamentalement victimes de discrimination"....   "qu'il fallait déconstruire la propre Histoire de la France" en repentance de notre passé colonial "qui est un crime contre l'humanité", la France «devait présenter ses excuses à l’égard de celles et ceux envers lesquels nous avions commis ces gestes".
Un woke prépubère n'aurait pas dit mieux que ce personnage, pourtant à la tête d'une des grandes nations de la planète, garant à ce titre de la sauvegarde du Patrimoine culturel et historique de son pays.

_______________

III.  L'envers du décor

Pour comprendre les proportions prises par les idéologies radicalisées de la victimisation ou de la cancel culture, l'impunité ou les excès d'intolérance et la violence qui en découlent, il faut avoir en tête le terreau sur lequel fleurit le nouveau monde des minorités actives :

1. le niveau intellectuel  -  2. Les influences étrangères : américaines + africaines   -   3. L'université   -  4. Internet les réseaux sociaux
 

1. le niveau intellectuel
Il est le point déterminant pour comprendre l'ensemble et peut se résumer ainsi :
- Une baisse scientifiquement confirmée de plusieurs points du coefficient intellectuel
- Une immaturité qui se poursuit souvent bien au-delà de l'adolescence et entraîne une émotivité juvénile mal contre-balancée par le développement du cortex orbito-frontal en cours de formation. Ces réactions émotives primaires souvent violentes sont le fonds de commerce des réseaux sociaux
- Un vocabulaire très réduit et peu structuré ne permettant pas d''exprimer clairement et de développer calmement des concepts ou des échanges d'idées, sans aussitôt laisser place à l'invective.
   Des contextes environnementaux aggravants :
- Usage du cannabis entraînant une diminution visible de la matière grise
- Une vie familiale moins stable qu'il y a 50 ans avec beaucoup de familles monoparentales ou recomposées


2. Les influences étrangères, américaines et africaines

1. Américanisation :
Aucun des sujets abordés sur cette page n'auraient envahi la France, si nous n'étions pas une simple colonie dépendante de la culture américaine.
Tout ce qui passe aux USA traverse l'Atlantique pour venir se coller sans filtre sur notre vie quotidienne.
Cette influence dominante a remplacé la culture gauloise d'origine.
Ceci entraîne une totale incompréhension entre le discours politique officiel datant de l'ancien monde et les jeunes générations,
dont la perception du monde dès le premier biberon, est calquée sur la vision fantasmée d'un pays dans lequel ils n'habitent pas !

Il est par exemple vieux-jeu de parler de laïcité à des jeunes qui ne connaissent à travers le web, que le modèle multiculturel anglo-saxon.
De toutes les modes de bouillies sonores industrielles au premier dessin animé, des séries policiers-autopsie aux niaiseries à l'eau de rose en passant par les pubs, les sitcoms et jeux de téléréalité, tout est calibré pour un public américain. Cinéma, télévision, streaming, jeux vidéo, chansons, habillement et modes, tout est importé.
A part le Camembert et le pinard, il ne reste plus grand chose de Brassens sous le soleil.
Même les idéologies à la mode comme celle de la victimologie chronique, du racisme anti-blanc ou du sexisme anti-mâles, ont été inventées en Californie.
L'actualité est vue à travers Hollywood et ses éphémères gloires siliconées sur papier glacé qui nous disent comment se vêtir, la manière de nous conduire en société, et même ce qu'il est bien seyant de penser. Comme si avoir une grosse poitrine donnait une quelconque autorité intellectuelle !
Ici l'ultra-féminisme déjanté et l'hyper antiracisme victimaire est une vague géante. Il est interdit d'avoir une vision différente et de vouloir argumenter ou échanger des idées un poil hors des clous. C'est le monde de l'intolérance totalitaire et de l'obscurantisme puritain des sorcières de Salem. Celui qui est désigné du doigt, verra son nom affiché à la vengeance publique, sera chassé en meute, banni de la société. Il perdra travail et famille.
Pour ces extrémistes woke (éveillées) tout l'univers est vu à travers le prisme du sexe et de la race des individus.
La vision du monde, aussi limité que la cervelle, se réduit ici à : "victimes ou bourreaux"


2. Africanisation :
On constate dans la France d'aujourd'hui, une difficulté à faire progresser nos règles, telles celles liées à l'émancipation de la femme, dans une population importée dont les relations sociaux-culturelles ancestrales du clan sont principalement basées sur le rapport de force physique, le culte de la virilité et la domination de l'homme sur la femme.
Si cela a un rapport avec les doléances des féministes, il serait bon que ces dames le disent clairement.

Difficile de totalement isoler la part africaine, car sa culture est elle aussi de nos jours sous l'influence Noir-américaine.
Le racisme anti-blanc qui règne outre-Atlantique est venu en France alimenter des théories anticolonialistes de nos immigrés arabos-africains qui se disent malheureux d'être venus de leur plein gré vivre sur notre sol, parfois illégalement.

Dans ce monde afro-américanisé, le bien-pensant magazine américain Time a consacré Gardienne de l'Année (
« qui se met en danger pour défendre les idéaux sacrés de la démocratie»), une africaine (doc) qui affiche sur notre sol sa haine des Français blancs, de notre police et de notre nation qu'elle appelle à renverser :  "En Afrique, ils vont renverser le président, ils rentrent dans le palais. Ça se passe comme ça en Afrique, pourquoi ça devrait pas se passer comme ça en France? Nous sommes prêts, nous pouvons faire une belle révolution".  (video)
On a même vu les partisans de cette "Gardienne de l'année des idéaux sacrés la démocratie", manifester dans Paris au cri d'Allah Akbar  !!!.  (source)

A l'opposé du Time, certains s'interrogent tout simplement sur le droit du sol accordant systématiquement la nationalité française à des enfants d'immigrés africains qui haïssent la France, Sa Civilisation, Sa Culture, Son Patrimoine et Son Histoire, au point de vouloir en bon woke tout déconstruire pour un monde plus coloré.

Les mauvaises langues disent que l'africanisation de notre pays est visible entre autres dans l'insécurité croissante, l'islamisation, les trafics de drogue en tous genres, et les guérillas tribales, dont les rixes armées sont bien supérieures aux pâles guerres des boutons de petit Gibus.
La lecture des journaux leur révèle que pratiquement tous les terroristes musulmans, égorgeant gaiement sur notre sol au cri d' "Allah Akbar", sont d'anciens petits délinquants de banlieue, bien connus des services de police depuis la prime enfance.
La haine viscérale de tout uniforme français se traduit toutes les nuits par des attaques au mortier de commissariats de Police ou des caillassages de pompiers dans des zones de plus en plus étendues jusqu'au centre des villes.
Cet état de guerre de harcèlement contre la France devient si banal que l'on si habitue
(exemple). Parfois des faits divers plus odieux, une décapitation ou un égorgement remarquable, font accourir pour un jour les ministres, on fait des discours sans jamais nommer les choses et on dit "plus jamais ça" jusqu'au fait divers suivant où l'on refait semblant de découvrir une nouveauté.
Pour ces mauvaises langues, nous sommes assez proche d'un début de guerre civile, dont l'ennemi infiltré de l'intérieur n'aurait rien de Gaulois et bénéficierait d'une impunité bienveillante.
Des militaires pensent même que la situation est si préoccupante, qu'une intervention de l'armée ne sera pas à exclure (
tribune 1, tribune 2).

Mais il n'est pas légal de croire tout cela, surtout que ce sont bien souvent des accusations formulées par des personnes du Rassemblement National contre lequel tous les partis bien-pensants, de gauche comme de droite, qui ont gouverné et voulu depuis 60 ans cette immigration de masse, savent se liguer au moment des élections au nom d'un "Front Républicain pour faire barrage", car avoir une opinion négative sur leur politique de migration de peuplement, constituerait à leurs yeux "un danger mortel pour notre démocratie" !!!

Pourtant en voyant la police en dernier rempart sous le feu des projectiles, certains se demandent s'il n'y a pas un plus grand danger à fermer les yeux qu'à pointer du doigt les coupables. Dans ce monde à l'envers, contre qui faut-il lutter ? Est-ce contre le patriote qui voudrait mettre fin à une dramatique escalade de la violence ou contre les voyous, les dealers et les islamistes qui chaque jour agrandissent sur notre sol des enclaves islamo-arabo-africaines échappant à nos lois ???
.
Pas de lien avec l'immigration dit la thèse officielle. France éternelle terre d'asile !
N'importe comment impossible d'affirmer quoique ce soit chiffres en main... toute statistique ethnique est interdite par la loi en France !

Par contre, il est de bon ton d'affirmer que ce sang nouveau est une richesse et une chance pour la France ou que l'apport culturel arabo-africain est très bénéfique au niveau par exemple du fond musical, le rapt tenant désormais le sommet de tous nos hit-parades, la poésie lyrique des textes de toutes ces nouvelles et belles chansons françaises ne laisse pas indifférent :
« Je rentre dans des crèches tuer des bébés blancs. Attrapez-les vite et pendez leurs parents. Ecartelez-les pour passer le temps et divertir les enfants noirs de tous âges, petits et grands. »
Il n'y a pas de commentaire, j'ai lu que c'était de l'Art !

 

3. L'université   
L'université a toujours été un bouillon de culture plus particulièrement ancré à gauche au XX° siècle, trotskiste au temps de l'URSS, puis en col Mao au temps du petit livre rouge chinois, elle a aujourd'hui remplacé la lutte des classes par la lutte des races. L'ennemi n'est plus le capitalisme, mais la race des colonisateurs blancs de l'Afrique noire et l'islamophobie de ceux qui refusent de favoriser l'expansion de l'islam en France !

Cette croisade contre Le monde des anciens Hommes Blancs, compte dans ses rangs une partie des 280.000 galopins (et pines) auxquels on donne le bac tous les ans, et dont le niveau culturel ne permet pas d'aller au delà de sujets bateaux, ne demandant aucune compétence. C'est la pléthore des Etudes de Sociologie, avec en vogue les Postcolonial Studies, Racial Studies, Discriminnations Studies, Cultural Studies.... et autres théories de Cancel Culture tendant à effacer le passé et le présent dominé par la culture érronnée et malfaisante des blancs.
Il faut ainsi déconstruire l
'Homme Blanc encore aujourd'hui dénaturé par sa vision misogyne et coloniale de la société.

Cette idée de détruire le passé et notre identité n'est pas isolée, elle est même dans les propos de Monsieur Macron Président de la République, qui appelle à déconstruire notre propre Histoire de France au nom de la race et du colonialisme. (interview CBS 18 avril 2021) !!!

Tout étant dans l'ignorance et la mauvaise foi, à aucun moment il n'est envisagé d'analyser les faits scientifiquement dans leur contexte historique, mais uniquement à travers le renforcement d'idéologies bidons..
Ces idées simplistes s'étendent dans toute la jeunesse, telle Greta Thunberg, la Jeanne d'Arc préfabriquée de l'écologie, déclamant au nom de la science et en parlant du déréglement climatique :
"Des systèmes d'oppression coloniaux, racistes et patriarcaux l'ont créé et alimenté. Nous devons les démanteler."   !!!
Aujourd'hui à l'université pour lutter contre le racisme on organise des réunions interdites aux blancs !!!
Imaginez le tollé général en sens inverse à propos de ce racisme caractérisé.

Les déclarations de certaines de leurs organisations tel Les Indigènes de la République laissent rêveur :
 « les Français de culture musulmane sont des traîtres, il n'y a que deux alternatives : être musulman ou être français » « La perspective décoloniale, c’est s’autoriser à se marier avec quelqu’un de sa communauté", « une pureté de la race avec une opposition aux mariages mixtes et au métissage » !!!...  

Un comble pour des gauchistes, Hitler n'aurait pas dit mieux !
 (à lire pour mieux comprendre)


Par contre ces chères têtes blondes woke, pro-black et pro-Islam, qui crient vengeance au nom de la colonisation, oublient en chemin, par ignorance ou idéologie, des pans importants du sujet.
Voici donc quelques éléments pour ne plus pécher par ignorance.

La traite des Noirs par les Arabes.
Pendant 1300 ans, des premières conquêtes de l'Islam au 7e siècle jusqu'à la chute de l'Empire Ottoman en 1920, des caravanes de 17 millions d'esclaves Noirs ont traversé le Sahara vers les pays arabes et leurs harems. On en parle peu et peu de Noirs africains contemporains le savent, car il n'y a pas de descendants d'esclaves de cette traite négrière arabo-musulmane. En effet, les Arabes castraient systématiquement leurs esclaves mâles, pour certains en sectionnant à vif pénis et testicules au ras du ventre. lire.   Beaucoup mouraient pendant cette intervention.  lire

Les conditions de survie des esclaves étaient inhumaines, avec un fort taux de mortalité, car les Arabes considéraient que les Noirs étaient proches du stade animal et ne représentaient qu'une forme inférieure du genre humain. (dans la langue arabe, le même mot ahid désigne les Noirs et les esclaves) !
C'est la colonisation européenne qui mit un terme à cette traite des Noirs, sans contexte dans l'horreur, plus importante, plus longue et cruelle que celle vers les Amériques.
Sur cette traite négrière, les Social studies sont muets et la ministre Christiane Taubira préfère dans le déni de réalité se voiler la face et masquer la vérité, ceci afin que de nos jours : "les jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids des méfaits des Arabes" !
lire
Le devoir de mémoire est à géométrie variable !

Lectures conseillées : Vérités cachées    L'esclavage des Noirs par les Arabes    Traite négrière arabo-musulmane   La traite oubliée    Mémoires de l'esclavage

 

La traite des Noirs par des Noirs.
Elle remonte au paléolithique, c'est la loi universelle du plus fort depuis les temps anciens, elle n'est pas propre à l'Afrique. On fait la guérilla, pour le territoire de nourriture, s'accaparer des femmes ou des esclaves.

Contrairement à ce que l'on croit, l'esclavage en Afrique n'a pas débuté avec la traite atlantique.
Celle-ci, tout comme la traite arabe, a simplement ouvert de nouveaux marchés à une pratique déjà existante. (
à lire)
Au XIXe siècle, on estime à 14 millions le nombre d'esclaves inter-communautés africaines.
à lire
La aussi, c'est la colonisation européenne qui mettra un terme provisoire à cet esclavage endémique.

Selon le
Haut-Commissariat des Nations Unis aux Droits de l'Homme, il y aurait toujours des millions d'esclaves en Afrique et plusieurs associations humanitaires ont aujourd'hui pour mission le rachat d'esclaves. L'une d'elles
(Timidria), a récemment racheté au Soudan un millier d'esclaves à raison de 50 dollars chacun dans la province de Bar-el-Ghazsal.
(documents sur l'esclavage aujourd'hui en :
Mauritanie, Soudan (doc2), Niger (doc2), Lybie, Pygmées

Juste un mot pour rappeler à nos étudiants en postcolonial studies que c'est aussi la colonisation qui a abolit pour un temps le cannibalisme en Afrique
documents à consulter : doc1, doc2, doc3, doc4, doc5, images

 

La traite des Blancs par les Arabes

Pendant plus de 1000 ans, du 8e au 18e siècle, les pirates barbaresques musulmans ont imposé leur loi sur le bassin de la Méditerranée.

Mais c'est à partir de la fin du XVe siècle que les raids de piraterie se sont intensifiés et que la traite esclavagiste des blancs a réellement explosé. Les esclaves européens étaient capturés soit en mer par les pirates, soit par des raids sur les côtes italiennes, françaises, corses et espagnoles.
Les tours de gué sur les rochers et les villages perchés en retrait au-dessus du littoral, témoignent encore de cette époque dans le Midi. à lire
 
 Les esclaves étaient emmenés enchaînés vers la côte Barbaresque musulmane, qui s’étend du Maroc à la Libye moderne, foyer d’une industrie florissante de rapt d’êtres humains et de marchés aux esclaves de 1500 jusqu’aux années 1800.

Les grandes capitales du marché des esclaves étaient Salé près de Rabat au Maroc, Tunis, Alger, Tripoli. Pendant la plus grande partie de cette période, les marines européennes étaient trop faibles pour opposer plus qu’une résistance symbolique.

Débarqués à terre, les esclaves blancs enchaînés les uns aux autres par un anneau de fer autour de la cheville, défilaient nus jusqu'à la place du marché, afin que chacun puisse se faire un avis sur la musculature des hommes ou les courbes des femmes.

Après négociations, les hommes étaient vendus pour les travaux des champs, les tâches lourdes ou répugnantes et également aux galères, cas les bateaux des pirates étaient à voiles et à rames. Ceux-là restaient enchaînés nuit et jour à leur banc et ne pouvaient en bouger même pour faire leurs besoins naturels. Leur espérance de vie ne dépassait pas quelques années sous les coups des nerfs de boeufs. Malades ou trop faibles ils étaient jetés par-dessus de bord et remplacés sans pénurie par de la chair plus fraîche. La cruauté extrême s'expliquait aussi par la rivalité entre la religion musulmane et la religion catholique.

Les plus fortunés étaient mieux traités et revendus contre rançon, tel fut par exemple le cas de l'écrivain Miguel Cervantès, échu comme esclave au corsaire Dali Mami, surnommé le boiteux qui estima la rançon à 500 écus d’or espagnols.
Il resta captif à Alger pendant 5 ans de 1575 à 1580, jusqu'au payement de la somme.
Pour un peu il n'aurait jamais écrit en 1605, Don Quichote de la Mancha !
A lire : Les années algéroise de Cervantès   L'Algérie ancienne


Les femmes, suivant leurs atouts, leur jeunesse ou leur virginité, étaient vendues au marché, comme femme de ménage ou esclaves sexuelles dans les bordels et les harems. Elles étaient excisées d'office. Toutefois, le métier d'esclave sexuelle était bien codifié, la religion ne l'interdisait pas mais le réglementait, Mohamed ayant eu en son temps plusieurs esclaves.

...les femmes faites prisonnières pendant les conquêtes militaires étaient considérées comme esclaves sexuelles...Il est permis de battre la femme esclave comme dans le but de la discipliner (dharb ta’dib : coups destinés à discipliner)...Si elle est vierge, il [son maître] peut avoir des rapports avec elle immédiatement après en avoir pris possession. Toutefois, si elle ne l’est pas, son utérus doit [d’abord] être purifié...Les captives sont distribuées dans le cadre de sa succession selon les lois (musulmanes) de l’héritage, tout comme le reste [de ses biens]...Il est permis d’avoir des rapports sexuels avec une fille esclave non encore pubère si elle est capable de rapports ; toutefois, si elle n’est pas apte aux rapports sexuels, on se contentera d’en jouir sans rapport (c’est-à-dire sans pénétration vaginale)
. à lire
(c'est ce qu'aujourd'hui on nomme viol sur mineure, j'engage fortement les féministes à porter plainte et demander réparation au nom du devoir de mémoire).
En tout, on estime à plus d'un million de personnes le nombre de Blancs emmenés en esclavage en Afrique du Nord.

Alger était le plus important marché aux esclaves blancs du Magreb, alors connu sous le nom de Côte des Barbares.
Une des raisons de la colonisation de l'Algérie fut de mettre un terme à la traite des Blancs.
Donc avant d'y aller aujourd'hui présenter des excuses au nom de la cancel culture et du devoir de mémoire, un mea-culpa barbaresque serait en retour le bienvenu.


Lectures conseillées : La traite des Blancs     Le commerce d'esclaves blancs   Les Blancs en esclavage     La traite des Slaves    Esclavage et repentances  
                                      
La traite oubliée    Esclavage des blancs par les barbaresques musulmans    Peintures de femmes blanches en esclavage
                                      
Livre: Esclaves Chrétiens, Maîtres musulmans

Voilà messieurs/dames les universitaires, de quoi à apporter un peu plus de variété à vos post-colonial studies, car tant qu'à blâmer exclusivement les blancs, autant faire le tour du sujet.
L'ignorance est excusable, la mauvaise foi beaucoup moins.

J'adhérerai à SOS-Racisme quand ils mettront un «S» à RacismeS, disait Pierre Desproges.

Si nos néo-féministes ne voient le monde qu'à travers les sexes, nos bambins postcolonialistes ne voient le présent qu'à travers un passé tronqué et fantasmé.
Cela pourrait donner à sourire, s'ils ne dictaient aujourd'hui leur loi dans l'Université, imposant une culture du bâillon, une censure des autres idées, livrant même des professeurs à la vindicte des intégrismes islamistes. Pour avoir prononcé le mot
islamogauchisme des professeurs sont placés sous protection policière pour échapper au sort de cet instituteur décapité pour avoir osé parler à l'école de la liberté de penser.

 

4. Internet et les réseaux sociaux
C'est le coeur de tout.
La science, à travers le développement des téléphones portables et celui de différents logiciels mettant en relation simple et instantanée tous les habitants de la planète, a complètement modifié en moins de 20 ans toutes les relations humaines et la diffusion des informations.
Cela sans aucun recul ni aucune réflexion sur cette évolution radicale aux conséquences multiples et non planifiées.
Nous n'avons encore aucune idée des modifications fondamentales, inédites dans notre évolution par sa rapidité sur seulement une génération, que celà bouleverse dans tous les domaines, particulièrement sur les jeunes nés avec un smartphone dans les menottes. (ou menottés à un smarphone, si vous préferez). 
Rien du sujet de cette page ne se serait développé sans cette avancée technologique.
 
En se limitant aux thèmes de cette étude, on peut regarder déjà les acteurs participants.
Ce ne sont pas les grands penseurs, philosophes ou sociologues patentés qui pianotent à tour de bras leurs idées sur des téléphones. Le gros du bataillon est composé d'ados et jeunes adultes, qui puise là, du porno à la lutte des sexes et des races, tout le savoir que contient leur maigre bagage culturel mondialisé.
A partir de cet apprentissage du monde sur des messages de 2 lignes, ils retweetent vers leurs amis, sans grand tri toutes les nouveautés reçues. C'est le monde de la recherche du buzz choc, peut importe son origine. Tout est bon, slogans, vidéos, images, témoignages et autres textos, du moment qu'ils peuvent faire sensation et rapporter davantage de likes.
C'est ainsi que des milliards d'idioties infantilisantes font tous les jours plusieurs tours du monde.
Tout est gobé y compris une permanente suspicion, pour ne pas dire paranoïa, de tout ce qui vient du "monde des grands". Il y a des ennemis et des complots partout. Les virus et les vaccins sont des inventions de capitalistes, chinois, martiens ou forces obscures, faits pour espionner et réduire à l'esclavage les Terriens !

It seems people today stay young longer and want to stay teenager much longuer than before.

According to some studies adolescence last now from 10 to around 45 years old !

The characteristic of adolescence is to let emotion dominate reason. That's what we find on social network with  many epidermal reactions that sometimes ignites with hatred on any topical or societal subject. With often too a lot of intolernce for opposing ideas or positions.

Another characteritic of young people is to put fantastic and mysterial things everywhere. That's the world of Harry 
Porter, Starwar and most of virtual games... and also by transposing this imaginary into real life by seing everywhere plots made by dark forces that would govern us and would want to harm us. This dark force sometimes call "The system" could match the "strange world of adults"

C'est sur ce terrain que nos néoféministes font part, tel Calinero, de toutes les injustes misères subies. C'est à qui renchérira et retweetera le plus. C'est à qui a eu le plus de mains aux fesses il y a 30 ans à Ibiza, toutes ont été harcelées, attouchées, violées, toutes, même les plus moches qui n'ont jamais rien risqué. C'est ici, que dans une surenchère de marchandes de poisson, l'on moucharde, dénonce, pointe du doigt et livre à toutes les followeuses le nom et les coordonnées de l'homme à abattre en meute. C'est dans cette fièvre vengeresse que l'on encourage même les enfants à dénoncer leurs parents !
Grace à l'outil informatique tout est filmé, sans cesse. Son nombril ou ses fesses, le chat qui pisse, les grimaces comme les mises en scène.
Les ébats amoureux diffusés plus tard pour se venger, rigoler, faire chanter ou harceler jusqu'au suicide. Les images des lynchages comme les humiliations sont jetées en pâture pour gagner quelques likes et un peu de notoriété.

C'est aussi sur ce terrain aussi que des voyous noirs américains vont exprimer leur haine de la police, vite transmise, à travers le monde, à des hordes d'ados en mal de cible et d'idéal. C'est l'outil de travail de nos djeunes français de banlieue, pour organiser en un éclair des traquenards et caillasser pompiers et policiers. Pour fixer le rendez-vous de la prochaine rixe, souvent considérée, tel au pays, comme un rituel de notoriété dans l'échelle des valeurs. C'est ici aussi que l'on improvise et transforme en émeute tout accident de scooter.
De l'aveu même des "grands frères" des clans arabes et africains de banlieue, la simple course à la surenchère de la notoriété sur les réseaux sociaux devient à elle seule chez les 12-13 ans, un élément moteur hors contrôle de déclenchement d'agressions quotidiennes.
Cette motivation s'ajoute et se confond aves celles liées à la protection et conquête des territoires religieux ou de drogue.

Comme tout le savoir et la perception du monde s'acquièrent ici à travers un mode virtuel, il n'y a plus de distinction entre l'imaginaire et le réel, le bien le mal, l'acte fantasmé ne se différencie pas de son exécution dans "la vraie vie"
Les Anciens s'interrogent en vain sur les plateaux télés avec des raisonnements de Terriens, sur des comportements venant d'univers parallèles à des années-lumière du plancher des vaches !
 
 _________

 

 

Ainsi sont nos 2 mondes qui se regardent aujourd'hui en chiens de faïence.

Ils représentent pratiquement à part égale, les électeurs qui se sont affrontés aux Etats-Unis l'an dernier, et ceux qui se retrouveront devant les urnes en France l'an prochain.
Soit autour des partisans de la souveraineté de la nation et sa culture, soit celui du choix du mondialisme libéral, de la dictature des sexes et celle des ethnies africaines, avec pour conséquence inévitable les cinq i : Inculture, Incivilité, Insécurité, Immigration, Islam.

Voici Grand père le choc de société qui va secouer ton vieux pays.

 

Thézan des Corbières, avril 2021

 

 

Avertissement

Ce petit site n'a pas pour objectif de décrire la société telle qu'elle est majoritairement aujourd'hui en France, mais seulement de peindre de manière parfois caricaturale quelques traits de comportements, modes de vie ou pensées, difficilement imaginables au temps de mon grand-père, né en 1880
Il n'est pas question de comparer et prétendre qu'une époque est supérieure à l'autre où de dire que c'était mieux avant, mais seulement d'évoquer quelques points en terme de différences. C'est ce mot différence qui est le fil conducteur à travers les pages. C'est ce mot différence, un peu galvaudé dans une société mondialisée où tout doit s'uniformiser même les idées, qui a guidé l'auteur.
Il y a autant de vérités que d'individus, alors ils faut se battre pour que chacun continue d'avoir le droit d'exposer son point de vue, même s'il est différent de ceux en vogue. Ainsi que disait Voltaire :
« Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire »
                                                                       
  

 

 

   

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