La
société d'aujourd'hui expliquée à mon grand-père
En synthèse des pages précédentes, nous
résumerons pour grand-père
la compréhension de la société
occidentale d'aujourd'hui, qui principalement
se réduit à deux
courants de pensée : - Celui
représentant la tradition et l'attachement
au sol, que nous appellerons : Le monde des anciens
Hommes Blancs -
Celui dit progressiste, des forces émergentes
du néoféminisme et de l'immigration,
porté par le capitalisme ultra-libéral
prônant l'égalité
de tout en tout dans un monde globalisé sans frontière.
Nous l'appelerons : Le monde des minorités
actives.
Deux points de vue
inconciliables qui se font face
|
I. Le monde des Anciens Hommes Blancs
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|
Ce premier courant de pensée,
nous l'appellerons le monde d'avant ou le
monde des anciens Hommes Blancs. C'est celui
de grand-père, de
tous ceux aimaient vivre dans un pays souverain, maître de
ses frontières et commerçant
avec d'autres pays, d'égal à
égal. Le pays du "chacun chez
soi" en bon voisinage. C'est celui du monde binaire
des droits et des devoirs, à
l'opposé de la société
individualiste libérale. Celui du pays où on appelle un
chat un chat, où l'on ne trait pas
le taureau, et où homme et femme
vivent en complémentarité
y compris dans l'éducation des
enfants. L'autorité pour le père,
la douceur pour la mère. L'avancement
dans le rang social est basé sur
le mérite. Non sur des critères
de race, sexe ou religion. Ce Gaulois,
coureur de jupon et moqueur, a les 2 défauts
interdits dans l'autre monde. Il est aussi une
personne liée à
une culture et un passé qu'il ne songe pas
à réécrire pour en
effacer les traces, pas plus qu'à démolir
le Colisée de Rome sous prétexte
qu'un jour les Romains ont colonisé
la Gaule ! C'est le terroir des Jean
Gabin et Marcel Pagnol, Descartes Voltaire
et Montesquieu, Lavoisier et Pasteur.
|
Ce monde toujours bien présent au
coeur d'une partie des anciens hommes blancs, est
maintenant peu
représenté dans la classe
politique, à l'exception de l'extrême
droite. Il n'a aucune
faveur des médias, télé,
magazines ou autres. Toutes les propagandes
lui sont hostiles, car l'Occident est resté
traumatisé par Hitler et aujourd'hui toute personne
aimant son pays est qualifiée de
nationaliste, souverainiste, fasciste, nazi,
d'ennemi de la République.
|
II. Le monde des Minorités
Actives C'est aussi celui de la société individualiste
libérale. Ce monde en pleine expansion est plus
complexe à décrire, car il est
le point de convergence de différents courants
émergents. Il est facilement
identifiable, car totalement obsédé
par le sexe et la race. Son arme
la victimisation et son atout l'impunité
ont trouvé chez nous un terrain
très favorable pour s'épanouir.
|
Commençons par le sexe. Aujourd'hui
en Occident, la femme a atteint l'égalité
avec l'homme, elle fait les mêmes
métiers, boit les mêmes bières,
fait de la politique et joue au rugby.
Il restait à régler l'homogénéité
des salaires, à poste et temps de
travail
égaux, ce qui relève de la lutte
syndicale employées-employeurs et non de la
lutte des sexes. (quotas) Tout était donc bien et la complémentarité
entre homme et femme qui régnait sur notre
espèce depuis que nous vivions dans
les arbres, avait été balayée
en moins d'un siècle de progrès.
Personne
n'a encore osé décrire les
conséquences de ce changement radical.
Mais
nos néoféministes californiennes
ont voulu aller plus loin. Galvanisées
par le souffle de la conquête et de
puissants lobbies, elles ont vite compris
que l'égalité des sexes mettait
en évidence qu'il y avait
deux chefs à la maison, un peu comme
deux commandants à la barre du même
bateau. L'égalité c'est bien,
mais il n'y a de place que pour un dominant
dans la nature. D'où l'idée
aussi diabolique que néoféministe, de dévaloriser
l'homme pour ne plus partager le pouvoir
nouvellement acquis. Deux moyens pour
y parvenir : soit féminiser le mâle,
soit le traîner en justice pour sexisme. Ce
trait de génie, né
dans les universités californiennes,
s'est propagé en traînée de
poudre dans les medias. On est encore plus
égal quand on abaisse l'autre !
|
|
C'est ainsi que l'on passe de l'émancipation
de la femme à l'égalité
des sexes, puis de "la femme est un
homme comme les autres" jusqu'à
l'étape finale où "l'homme
doit devenir une femme comme les autres". Pour
faire de la femme un homme et féminiser
les mâles, on va créer
la théorie des genres de tout acabit,
étalant sa gamme de sexes dans toutes
les nuances de l'arc-en-ciel LGBTQIA+XYZ,
style
différentes variétés
de transgenres et trans-tout. Dans cette arche de Noé des minorités, sont bienvenus tous ceux qui tel
le
chat de
Schrödinger peuvent
superposer plusieurs états à
la fois. Le jeu
final étant de démontrer
que l' homme de sexe masculin ne représente
qu'une infime part des choses dans le monde
nouveau. Après le nombre, pour
majorer l'importance des genres il suffit
de prendre
des cas particuliers minoritaires dont vous faites la
norme à la mode. Celle que vous mettrez
en avant et qui primera
sur toutes les autres. Par exemple mettre
en valeur tout ce qui n'est
pas un homme hétérosexuel,
autrefois qualifié de "normal",
prenons au hasard les homosexuels. C'est banal
il y en toujours eu, mais ils étaient
discrets, faisaient leurs affaires entre
eux et s'exhibaient rarement
sur la place publique. Tout à
coup, vous en faites des vedettes qui défilent
les fesses à l'air sur des
chars telles des rock-stars du progrès,
des exemples pour l'avenir des jeunes !
a
coupé zizi
|
On
va aussi développer la théorie
de l'homme
qui ignore qu'il n'est pas un homme à
part entière. Il se trompe sur son sexe, ou du moins son genre pour
reprendre le langage à la mode. Partant
du postulat que tous mâles
portent en
eux 50 nuances de féminité,
que dans chaque garçon il y a une fille
qui s'ignore et que le sexe n'est qu'une construction
sociétale de l'esprit, la solution
est simple :. Pour rendre
l'homme bon, il suffit de le féminiser
et d'éveiller
en lui sa part androgyne. Dès l'enfance,
ce garnement
doit apprendre
à jouer à la poupée. On va mettre en avant
tous les hommes qui n'en sont pas vraiment.
Les catalogues de mode sont édifiants
à ce sujet. Ces hommes nouveaux pas
trop virils vont devenir la nouvelle norme,
reléguant au passé à
bannir, l'homme de cromagnon qu'était
grand père.
|
Du
coup disparue l'autorité paternelle
si redoutée des temps jadis, l'enfant
peut enfin s'épanouir sans borne.
Les mauvaises langues diraient sans
repère non plus ! Plus d'autorité
à l'école, ni trop ailleurs
non plus,
tout est censé être dans la
communication. L'important, partout
et en même temps, est de ne pas appeler
un chat un chat. Tout est diplomatie nuance et
doigté. On se noie dans des phrases
de dix kilomètres de long pour contourner
le jugement clair et plus encore une décision
ferme.
L'homme nouveau
sans autorité a enfin toute sa place dans la
société moderne, progressiste
et javellisée.
Et voilà ! couic le zizi avec
la bénédiction de toute la
bien-pensance puritaine mondalisée.... Bien sûr, il ne s'agissait pour
la feministe occidentale que de
régler le sort de son rival, le mâle
occidental. Celui qui voudrait encore exister
après la conquête de "l'égalité"
des sexes. Les autres, qu'ils soient d'Afrique,
islamistes ou gitans, on ne s'y frotte pas.
Pas folle la guêpe !
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|
Mais que faire pour achever
les mâles réfractaires
que l'on a pas réussi
à féminiser ? Simple,
il suffit de leur reprocher
l'autorité naturelle
et de les accuser de
tous les maux en dénonçant
à la vindicte populaire
ces reliques sexistes de l'Ancien Régime. Pour abattre
définitivement le concurrent
vous en faites un épouvantail
à moineaux, responsable
de tous les fléaux et
discriminations dont auraient
été victimes toutes
les ceux/celles qui n'étaient
pas des mâles dominants.
Haro sur tous les dos argentés
qui à travers les âges
ont dominés dans leur
clan, les femelles comme les 50
subtilités de genres.
A ce titre, tous les
opprimé.e.s du passé
ont droit aujourd'hui à
toutes les compensations. En filigrane
:
"comme nous les femmes
jadis minorité sans droit,
dans un monde fait par les hommes,
pour les hommes ". C'est
la faute de l'homme occidental
si aujourd'hui
nous avons le droit légitime
au nom du passé, de tout lui prendre,
puisqu'avant il ne partageait
rien.
|
Cette
idée de compensation
intemporelle deviendra vite une idéologie
dominante.
C'est
cet être rustre et brutal,
source de tous les maux, qu'il
faut abattre, car il est l'obstacle
au Progrès. D'ailleurs,
tout le monde le sait, l'Homme
est mauvais, si mauvais qu'il faut chaque
jour de nouvelles lois
s'en protéger. Il est même mauvais
en tout, il tue les femmes,
il viole tout ce qui bouge, il n'a de cesse
de mettre les mains aux fesses
30 ans plus tôt. On dit
même qu'il mange les petits
enfants dans la forêt. Il est
l'auteur de tous les crimes
en phobe et en cide. Il
ose encore draguer
les filles,
comme s'il ignorait que seule
la néoféministe libérée
a le droit de
choisir son partenaire.
Il n'a même pas compris
qu'elle avait le droit de se promener
les fesses à l'air, mais que
lui
n'avait plus le droit de saliver
! Il faut toujours plus de procès
et de délations, de dénonciations
rétroactives
en tous genres pour s'en protéger.
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Il
faut dire à propos des
armes de délation, #MeToo et autres #balance ton
mec, que
nos collabos nazis pendant la guerre
étaient des enfants de
coeur. Comme aux pires heures
de Vichy,
des dictatures sans pitié
de Staline ou de Mao, on peut
même aujourd'hui encourager des enfants
à dénoncer leurs parents
! Cette
ultime étape de la diffamation est présentée
comme une libération
et un progrès de notre
civilisation. Il faut
que notre société
soit arrivée à
un état de décadence
très avancée, pour
qu'une telle honte ne nous fasse
même plus réagir. C'est
cette chasse à l'homme
et cette victimisation
permanente au nom du passé, qui
est maintenant la
base des rapports sociaux dans
la guerre pour la suprématie
lancée par les féministes.
Avant de quitter ce paragraphe, il faut noter que
comme dans toute conquête, le nouvel arrivant se
doit de marquer son territoire.
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Ici, c'est la langue française qui en a fait
les frais. La féministe étant devenue un homme
comme les autres, elle exerce donc aussi des métiers
d'homme comme charpentier, menuisier ou sapeur pompier.
Victoire de l'égalité enfin acquise et
de l'effacement des différences, on aurait pu
penser que le nom de la profession soit maintenu sans
distinction du sexe de la personne qui l'occupe. Et
bien non, nos amazones ont souhaité créer
une différence là où il n'y en avait
plus, en distingant par un nouveau
nom, la profession si elle est exercée par une
femme. C'est ainsi que nous avons vu naître des sapeuses-pompières,
écrivaines, plombières... !
La
logique féminine, qui avait tant mystifié
nos ancêtres à travers les siècles,
ne manquant pas de ressources, c'est l'orthographe même
de notre langue française qui devint illisible.
On ajouta à la fin de chaque mot masculin une
terminaison en .e.s ! Fier devint fier.ère.s,
agriculteur.rice.s, inclus.e.s, officier.ère.s,
etc.e.s. ! Même il devint iel, et
ceux ou celles devinrent celleux
! C'est-à-dire, un truc complètement imbuvable,
baptisé écriture inclusive, dégendrée
(ou déjantée), épicène
ou non-sexiste. Comme si nos bambins n'avaient
pas assez de mal pour apprendre
un peu à lire et à
écrire !
Inutile de rappeler que tout ceci s'accompagne de
mesures et de lois pour que les notions de hiérarchie
dans tous les domaines de la société ne
soit plus basées sur le mérite, mais sur
la discrimination sexuelle en faveur de la gente
féminine et des innombrables nouveaux genres.
|
L'élément
de critère de sélection déterminant
devient le sexe, un comble pour celles qui disaient
vouloir l'unisexe !
_______________
Le racisme Après l'Homme ennemi
de la femme, l'Homme ennemi
des non-blancs (les
racisés
dans leur langage) :
L'idéologie qui tend vers des
clones terriens identiques en
tout,
a trouvé son écho dans le courant
ultra libéral européaniste et mondialiste au pouvoir, qui abolit les nations et toutes différences entre les peuples
de la planète. Plus de différences entre
les hommes, mais aussi plus de passé historique,
plus de cultures, plus de particularités héritées
des modes de vie ou des lois de l'adaptation au milieu. Tous
les Terriens sont, sans distinction
de sexe ou d'origine, des courbes
sur des tableaux Excel. Tous sont absolument identiques et permutables
comme des pièces de légo. Javellisés
et proprement formatés. Uni-sexe, uni-race,
uni-inculture, uni-tout.
Bien sûr ce monde parfait, où tous les êtres
et les peuples sont identiques
a trouvé ses limites, et du coup il est devenu inexplicable qu'en Occident, dans une civilisation
forgée à travers les siècles par des peuples occidentaux pour des peuples
occidentaux,
certains aujourd'hui soient moins bien adaptés au milieu
que d'autres.
Comme souvent les moins bien lotis sont
les nouveaux arrivants, issus de peuples non-occidentaux, on en déduit que c'est une question
de couleur de peau.
Pour
expliquer leurs propres échecs
ou lacunes, "les racisés"
vont développer
un statut de victimisation chronique,
non plus liée à
la lutte des classes
mais à la lutte des races.
Tout sera vu au travers
du prisme de la race et de la
couleur de peau. Ici
la race remplace le sexe du
paragraphe précédent,
mais les armes utilisées
sont les mêmes... ce n'est pas ma faute, c'est celle
de l'homme occidental. Dans leur argumentaire
il existe
une ambiguïté entre
les mots : égaux, pareils,
clones identiques, inférieurs
et supérieurs.
"C'est parce qu'on est pas blanc,
qu'on
est brimé". Le blanc est par sa
couleur de peau systématiquement
coupable et le Noir serait sa victime
désignée à
travers les âges. "D'ailleurs les blancs nous
ont toujours dominés. Nous avons une revanche
à prendre. Nous avons tous les droits au nom
du passé. Si nous ne sommes pas au sommet de
l'échelle dans la société occidentale,
c'est de leur faute."
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Et voilà resurgir l'idéologie
de la compensation, de la victimisation et du bouc émissaire
|
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Si l'homme occidental est l'ennemi de
la femme et cause de toutes ses misères,
l'homme occidental est aussi à cause
de la couleur de sa peau, le responsable
et la cause de toutes les misères
des "racisés". Tout est
mauvais chez l'homme blanc, tout y compris son
passé, les statues de ses grands
hommes, les oeuvres littéraires et
même les oeuvres musicales, telle
ces symphonies de Beethoven
"dont la complexité
de la musique classique est un symbole de
l'élitisme dont sont exclus les minorités"
. (je cite) !
Comme on l'a vu avec
le féminisme, cette idéologie
conduit, comme toujours dans les croisades,
a d'abord effacer les monuments et les traces
de l'ancienne civilisation. Cela s'est toujours
passé ainsi dans les livres d'histoire
et il n'y a pas de raison pour que cela
soit différent de nos jours. C'est
ainsi dans la nature, il faut marquer son
territoire comme notre bon toutou plus haut.
Tout comme le vaincu doit mettre genou à
terre devant le nouveau dominant, ici l'idéologie
de la victimisation.
Deux cibles sont particulièrement
visées. La police et la colonisation. La
police parce que son travail est d'arrêter
manu militari les malfaiteurs dont malheureusement le profil
n'est pas toujours clair. D'où la conclusion
hâtive que la police est raciste,
comme si c'était elle qui était
responsable de l'origine ou
de la couleur de peau des délinquants
! Evidemment toute la petite racaille et
autres vendeurs de drogue ont tout intérêt
à discréditer la police et
même à demander qu'elle soit
désarmée ! On comprend les
demandeurs !
Ils ont pour alliés
des étudiants en mal d'idéal
et des marginaux en mal de tout, braillant dans les manifestations
:
"tout le monde déteste la
police", soutenus
par les partis d'extrême gauche en
mal d'une clientèle de nouveaux opprimés
à défendre.
Dans une mode venue
des Amériques, il faudrait même
s'agenouiller pour honorer les hors-la-loi
et blâmer les représentants de la
force publique, usant justement comme leur
nom l'indique, de la force publique pour faire appliquer la
loi et nous protéger ! Trente
policiers
sont
agressés
et blessés
chaque
jour en
France,
sans
une
larme
sur
Facebook
pourtant si prompt à s'émouvoir
et s'enflammer en sens inverse.
A
vouloir toujours protéger les voyous,
qui demain va protéger les braves
gens ?
|
A part la police,
l'autre grand cheval
de bataille de la
victimisation des racisés est la
période coloniale. Là,
je suis en partie
d'accord avec eux.
Qu'est-on allé
faire dans ces contrées
lointaines
qui à l'époque
vivaient heureuses
dans le néolithique.
Quelle idée
imbécile
que d'avoir voulu
les "civiliser"
pour les amener
à notre époque
et conception
du monde.
Quelle perte
de temps que d'avoir
sur leur sol construit
des écoles,
des hôpitaux, des
maternités,
des routes et ponts,
des ports et des
aéroports.
De les avoir vaccinés
contre les maladies
qui ravageaient
leur population.
Nous avons poussé
la naïveté
jusqu'à vouloir
qu'ils soient français
comme nous.
C'en était
trop, ils n'en voulaient
pas. Ils ont choisi
l'indépendance
et ont brûlé
le drapeau tricolore
dans de grands feux
de joie pour célébrer
l'heureux événement.
Je
les comprends et
les approuve, moi
qui voudrais tant
que mon pays se
libère du
joug de Bruxelles
et retrouve son
indépendance.
|
|
60 ans ont passé,
on aurait pu penser
que tous ces pays
africains libérés
du joug du colonisateur,
se soient développés
en nations indépendantes
prospères
ne demandant plus
rien à personne. Les
peuples
d'Asie
du Sud-Est,
eux
aussi
colonisés
et
indépendants
depuis
60 ans,
ont su faire preuve
d'une remarquable
adaptation au changement,
leurs pays sont
en pleine
expansion économique et certains
tels
la Corée
du Sud
sont aujourd'hui
aussi
riches
que
la France
! On
ne peut pas en dire
autant des pays
africains restés
sous-developpés
et dépendants
de l'Occident, malgré
l'aide à
la formation et
l'émancipation, les
milliards
versés ou
les tonnes de vivres
et de puits creusés
par des myriades
d'organismes humanitaires
dévoués
à leur chevet.
A qui
la faute ? Comme
pour la victimisation
féministe,
on a vu se développer
des théories
postcoloniales,
déboulonnant
la statue d'un ministre
de Louis XIV, car
ce serait à cause
du passé
des blancs que les
"racisés"
ne seraient
pas aujourd'hui
au sommet de l'échelle
sociale capables
de construire des
nations dynamiques
à l'image
des pays asiatiques
modernes.
Certes,
mais cela mérite
un peu de recul
et de réflexions.
Tous les peuples
de la terre ont
été
un jour, colonisateur
ou colonisé.
Au cours des âges,
la France a été
plusieurs fois colonisée,
les tribus africaines
se sont fait la
guérilla pendant
des millénaires pour coloniser
la terre du voisin,
enlever des femmes
et des esclaves.
Pendant plus de
mille ans
les Arabes ont fait
le trafic de millions
d'esclaves
noirs, ce que curieusement
personne ne semble
leur reprocher aujourd'hui. Donc,
en résumé
dans la nouvelle
idéologie,
les méchants
hommes blancs sont
responsables des
maux de tous ceux
qu'ils ont dans
le passé
colonisés.
Leurs grands hommes
et tous ceux qui
ont vécu
"au temps des
colonies" sont
bannis et leurs fantômes
ne doivent même
plus hanter le nom
des rues de France. Au
sujet de la réalité
du traumatisme postcolonial,
on peut prendre
l'exemple de l'archipel
des Comores, indépendant
depuis 1975. Seule
l'île de Mayotte
est restée
sous le méchant joug colonial
de la France. Hors,
c'est vers cette
île de Mayotte,
"honte de la
suprématie
blanche", que les
peuplades libres
des iles indépendantes
du reste de l'archipel,
affluent
depuis pour une
vie meilleure
!...
Il y a
là
un paradoxe. Pourquoi
les victimes,
une fois leur pays
libéré
du joug de l'oppresseur,
viennent-elles vivre
dans le pays de
leur ancien bourreau.
Celui dont justement
elles n'appréciaient
ni la civilisation,
ni le mode de vie,
ni la culture. Ils
sont des millions
à vivre aujourd'hui,
parfois clandestinement, dans notre pays
dont ils avaient
brûlé le
drapeau ! Si
je chasse
hors de chez moi
un indésirable
dont je refuse la
culture,
ce n'est quand même
pas pour
aller habiter chez
lui !
L'insécurité Tous
les
immigrés
ne sont
pas
des
délinquants,
mais
100%
des
attentats
commis
sur
notre
sol
depuis
30 ans
sont
le fait de
musulmans
immigrés
ou de
français fils
d'immigés.
De plus,
il faut
remarquer
que
le remplacement
de l'autorité
virile
par
des
idéologies
bisounours,
a eut
des
conséquences directes
néfastes
face
à
des
populations
importées
dont
la perception
de la
société
est parfois
basée
sur
le rapport
de force
permanent. Tous les soirs
dans une ou plusieurs
villes de France
éclatent
des émeutes,
scènes de
guérillas
urbaines, rixes
entre bandes, voitures
incendiées,
commissariats et
policiers attaqués
par des tirs de
mortier et cocktails-molotov, pompiers
attirés dans
des traquenards
et caillassés,
trafic de drogue
jusqu'aux portes
des écoles.
Toutes ces petites
"incivilités"
ne sont réprimandées
que sur la pointe
des pieds et en
marchant sur des
oeufs, car dans
l'idéologie
de la victimisation
chronique, on ne
touche pas les minorités
opprimées.
Surtout pas de vague
"ça
donnerait des voix
au FN".
L'instituteur qui
se fait cracher
à
la figure gardera le
silence, car pour
sa hiérarchie et
ses collègues,
il est coupable,
il faut savoir être
souple, pédagogue
et se fondre dans l'omerta.
Le policier ne poursuit
plus le garnement
qui
fait des rodéos
sur une moto volée,
car si le petiot tombe par
accident, le quartier
sera en feu pendant
des nuits entières
et le policier devra
rendre des comptes.
Surtout pas de vagues.
Partout en France,
il existe des zones,
des quartiers ou
des banlieues qui
sont tenus par des
dealers et où
la police ne pénètre
plus. Pas de vague,
ne pas aller sur
leur territoire
les narguer ! Pour
tous ces délinquants,
la police française
ne fait
plus peur et ne représente
qu'un simple gang concurrent
parmi d'autres ou
l'uniforme
d'un
Etat
ennemi
qui
n'a
pas
à
empiéter
sur
leur
sol.
(vidéo) Le nombre
et l'impunité
faisant
loi,
la possession
de territoires
et la peur
ont
aujourd'hui changé
de camp.
|
|
Les arrestations
se feront
avec des
fleurs, sinon il
faut mettre genou
à terre pour
s'en excuser.
D'ailleurs pourquoi
interpeller les
voyous, ils seront
relâchés par
le juge avant que
le policier
finisse de remplir
son rapport.
D'impunité
en impunité
sur des générations,
on arrive aujourd'hui
à des scènes
d'inssurection, de guerre urbaine
et certainement
de guerre
civile si l'on tentait
de reconquérir
ces anciens coins
de France.
De
plus il n'est pas
toujours clair de
faire la part entre
l'ensauvagement
de jeunes voyous,
la montée
en puissance des
territoires de drogue
et le Jihad. Pour
mémoire,
les organisations
terroristes islamistes
ont depuis des années
voulu importer le
Jihad en France,
et ont appelé
les musulmans vivant
sur notre sol à
tuer les
"sales français"
: "Frappez sa tête avec une pierre, égorgez-le avec un couteau, écrasez-le avec votre voiture, jetez-le d'un lieu en hauteur...(source)".
La
police est particulièrement
visée, par
exemple dans les
manifestations,
"les loups
solitaires"
doivent entraîner
la foule à
haïr la police
(source),
ou
plus récemment
en
offrant des récompenses
pour tuer les policiers
(source).
(source
Observatoire Memri) Le
problème
majeur aujourd'hui
en France est de
trouver comment
protéger
la police qui protège
les Français.
Depuis
40 ans, à
toutes ces violences,
on recherche
les mêmes
excuses à une tache d'huile
toujours minimisée
et ramenée
à de pauvres
"djeunes"
individus isolés
et un peu perdus
dans ce monde moderne
cruel. A
chaque fois on désigne
les mêmes
responsables: les
parents, l'école,
la justice, le chômage.
|
-
Pour
les
parents,
c'est
clair
:
En
remplaçant la
crainte
de
l'autorité paternelle
par
50 nuances
de féminisme,
on est
entré
dans
un monde
sans
punition
réelle
pour
l'enfant,
où
la fessée
est
remplacée
par
une pédagogie naïve. Place
à
l'enfant-roi
en sucre
qu'il
ne faut
pas
traumatiser.
Fixer
des
bornes
à
un bambin
serait
briser
sa créativité. Dès
l'enfance,
le marchandage
remplace
la sanction
et l'on
entre
dans
l'univers
de l'impunité. De
plus
dans
les
banlieues,
c'est
souvent
la mère
seule
qui
élève
le délinquant
dont
le salaire
de la
drogue
est
un apport
financier
non-négligeable
pour
faire
chauffer
la marmite.
-
L'école,
dont
la mission
initiale
oubliée
était
d'apprendre
à
lire
et à
écrire
aux
élèves,
est
aujourd'hui
chargée
de corriger
les
inégalités
de la
société
et de
l'immigration.
Mission
impossible
puisque
là aussi,
on a
remplacé
l'autorité
incontestée
du maître
par
des
concepts
de bisounours.
Plus
d'estrade,
plus
de bonnet
d'âne,
plus
de coup
de règle
sur
les
doigts.
Tout
est
dans
l'indulgente
compréhension
d'un
être
qu'il
ne faut
pas
traumatiser.
Ici
aussi
l'impunité
doit
régner
pour
ne pas
rendre
l'enfant
malheureux,
donc agressif.
On connaît
le résultat.
-
La
justice,
on l'a
dit,
doit
être
indulgente,
car
le châtiment
rend
plus
méchant
et les
prisons
sont
pleines
! La
justice
est
idéologiquement une
fervente
adepte
de l'excuse
et de
l'individualisation
humaniste
des sentences.
C'est
dans
ces
palais,
qu'à
travers
l'individualisation
des
sanctions,
l'idéologie
de la
victimisation
trouve
sa raison
d'être
pour
tous
nos
guerrieros
de banlieue.
On n'y
applique
pas
un tarif
à
payer
par
méfait
catalogué,
mais
un prix
réduit
pour
tenir
compte de la jeunesse
malheureuse du pauvre
délinquant
brimé...
parfois
cela
se résume
à
un 20e
rappel
verbal
pour
indiquer,
une
fois
de plus,
au jeune
hilare
qu'il
n'est
pas
bien
de vendre
de la
drogue,
de voler,
piller
ou d'attaquer
toutes
les
nuits
le poste
de police
aux
cocktails
Molotov
! "Bien
connu
des
services
de police,
a été
remis
en liberté"
dit
la formule
rituelle
! Véritable
panier
percé,
la justice
désarme
et anéanti
toute
l'action de
la police
par
la rapidité
avec
laquelle
elle
relâche
les
voyous
dans
la nature.
A ce
titre,
elle
porte
une
responsabilité
écrasante
dans
la situation
de crise
actuelle.
Responsabilté
partagée
avec
le pouvoir
politique,
plus
enclin
à
la communication
évanescente
qu'à
l'action
efficace. Il
faut
noter
que
dans
nos
prisons
surpeuplées,
les
musulmans
représentaient
déjà
en 2014,
60%
des
détenus.
lire
-
Le
chômage,
il est
pour
tout
le monde,
mais plus
encore
pour
ceux
dont
le QI
ne fait
pas
des
étincelles
et
qui
ont
préféré
rester aux
abonnés
absents
au fond
de la
classe
durant
toute
leur
jeunesse.
|
|
A
la liste
de tous
les
opprimés
injustement
malheureux
d'avoir
à
vivre
dans
un pays
qui
ne les
comprend
pas,
il faut
ajouter
l'idéologie
politique
et juridique
islamique.
Elle
est
arrivée
avec
l'immigration
de peuplement
et accompagne
la vie
des
banlieues
où
les
Gaulois
n'ont
plus
trop
le droit
de cité
(jeu
de mots).
A travers
différentes
associations
sportives
et culturelles
elle
structure
l'activité
des
habitants
et à
travers
les
mosquées
elle
en cimente
l'unité.
Son
idéologie
juridique
indique
la loi
dans
la conception
du monde
et les
différents
détails
matériels
de la
vie
quotidienne,
tel
l'habillement
ou la
nourriture.
On
assiste
ainsi
progressivement
à
une
sorte
de créations
d'Etats
dans
l'Etat. Cela n'est
pas
évident
en France,
dont
la base
même
du pays
repose
sur
la séparation
du religieux,
(qui
est
considéré
comme
appartenant
à
la sphère
privée),
et la
conduite
de la
nation
dictée
par
la Raison
de l'Homme
sans
intervention
divine
depuis
1789. En
France,
la foi
relève
de l'intimité
profonde
de chacun,
et non
du domaine
public.
Ces
deux
conceptions
très
différentes
de Civilisation
et Société s'achoppent
partout
où
elles
se côtoient
:
dans
la rue
sur
le voile,
à
l'université
sur
les
idées,
à
l'école
un peu
sur
tout.
|
Nous avons nommé Laïcité
cette séparation
des pouvoirs, c'est
un mot inconnu et
incompris des autres
peuples occidentaux
qui tous jurent
sur la bible, et
ont des divinités
extra-terrestres
pour veiller au destin
de leur nation :
Dieu bénisse
l'Amérique,
Dieu sauve la Reine,
etc. Cette
différence
fondamentale, est
tout aussi mal
perçue par
l'Islam radical qui considère
la laïcité
comme une idéologie
concurrente et une
religion de mécréant. C'est
avec l'insécurité,
le point de friction
principal entre
"les deux mondes"
de cette page. Ici
aussi on va retrouver
la minorité
opprimée,
victime du
méchant Français
infidèle
qui voudrait empêcher l'Islam
de s'étendre
dans son pays.
Ainsi
que le rappelait
le président
turc Erdogan : "Les
minarets sont nos
baïonnettes,
les mosquées
sont nos casernes,
les croyants
sont nos soldats".
le nombre
fait
la loi,
et à
ce jeu
là
nous
perdons
un peu
plus
chaque
jour.
________
La
cancel culture (cancel
dans le sens de
supprimer, éliminer,
effacer, déconstruire
/ culture dans le
sens d'en manquer
complètement)
Cette
idéologie
nouvelle mérite
un paragraphe bien
à part en
tant qu'arme utilisée
par
les
féministes
et ceux qui se
dénomment
les racisés
(non-blanc).
En complément
de la victimisation,
c'est l'arme d'attaque
et d'adhésion
contrainte favorite
des minorités.
Chassant en
meute, elles utilisent
massivement la dénonciation
et la délation
sur les réseaux
sociaux et dans
la vraie vie. Tout moment
historique, comportement,
parole ou idée
qui pourrait heurter
la sensibilité
ou les convictions
d'une personne ou
d'un groupe issu
des minorités
de sexe ou de race,
passe sous la moulinette
de ces nouveaux
tribunaux de Salem. Il
est offensant de
faire mal au coeur
à son interlocuteur
en ayant une pensée
différente
de la sienne ou
par une action même
ancienne de plusieurs
siècles,
qui ne serait pas
totalement conforme
aujourd'hui
à son point
de vue.
Cette
censure puritaine,
à la chasse
de la moindre impureté,
est évidemment
à sens unique
et relèvre
du domaine de la
psychiatrie. Elle
s'épannouit
depuis les milieux
hollywoodiens et
universitaires vers
tous les milieux
pseudos
intellectuels, la
presse people et
bien sûr les
réseaux sociaux
dont elle est à
la fois l'enfant
et l'un des principaux
carburants. Cette
conseption des rapports
sociaux est basée
sur l'intolérence
et la dénonciation
afin de démolir
l'autre, qu'il soit
un individu mort
ou vivant ou une
civilisation actuelle
ou passée.
Cette nouvelle vision
se dit progressiste
(j'espère
que celà
ne vient pas du
mot progrès).
La
cancel culture à
l'assaut de l'individu
C'est la dénonciation
et la délation
poussées au paroxisme sur
les Facebook et
autres, de tout
individu soupçonné
de n'être
pas conforme, à
un titre ou un autre,
au moule de la pensée
d'une minorité
en vogue. Pour avoir
volé un bisou
sur la joue d'une jeune
fille un soir de
bal au village il
y a 50 ans,
votre nom sera placardé
à la vindicte
populaire, tel les
"wanted"
des affiches des
vieux films cowboys.
Vous serez poursuivi
et
banni à
vie, peut importe
d'ailleurs que la
fille ait menti
ou se soit simplement
vantée. Votre
vie sera foutu car
la calomnie aura
semé le doute. Si
par audace ou inconscience
je contestai le
slogan "Black
lives matter"
en argumentant que
toutes les vies
humaines comptent
peut importe la
couleur de peau,
je serai sûrement
pendu haut et court
pour racisme anti-Noir. Pour
avoir écrit
ce site je risque
fort d'être
jeté mille
fois aux crocodiles
du Nil, au nom du
progressisme, de
la libération
de la parole et
de la nouvelle liberté
de penser. Evidemment
cette idéologie
de la pensée
unique coupe court à
tout échange
ou confrontation
d'idée, puisqu'à
partir du moment
où on a un
avis différent,
on devient un ennemi
à faire disparaître.
Avouez que celà
limite aussi les
discussions de comptoir
et toute entente
entre le clan des
Anciens Hommes
Blancs et celui
des Minorités
La
cancel culture à
l'assaut de la société Cet
aspect de déconstruction
de notre société
est plus inquiétante
encore. Dans une
machine à
remonter le temps,
manipulée
par des incultes
à l'ouverture
d'esprit très
étroite,
l'Homme est sorti
du contexte de son
epoque pour être
jugé selon
les critères
des féministes
et racisés
du XXIe siècle.
Le verdic est bien sûr toujours
en adéquation
avec la conclusion
préalablement
souhaitée
: "La
civilisation occidentale
est mauvaise parce
qu'elle est l'oeuvre
de l'homme blanc
qui est fondamentalement
mauvais". C'est
pourquoi même
les
morts n'échappent
pas à la
vengeance des
nouveaux tribunaux
auto-proclamés.
En fait toute personne
ayant par exemple
vécu
à l'époque
coloniale, est un
bourreau des racisés
et doit en payer
le prix. Les têtes
connues doivent
être tuées
une seconde fois.
De Napoléon
à Colbert,
de Georges Washington
à Montesquieu,
aucun ne doit échapper
à
la vague vengeresse.
Ils doivent être
effacés de
nos mémoires,
des frontons des
écoles
comme des noms de
rue. Ce délire
de vengeance et
de démolition
va plus loin, lorsqu'il
souhaite faire
disparaitre de l'Histoire, les savants
et philosophes
de l'Antiquité,
tous considés
comme
racistes, esclavagistes,
colonisateurs, pédophiles,
sexistes, misogines
et j'en oublie.
Une civilisation
trop blanche, trop
masculine, pas assez
inclusive. Certains
d'ailleurs se demandent
s'il ne faudrait pas
"canceler"
les bases des mathématiques,
des sciences et
de la littérature
concues par ces
êtres impurs.
Il
faut réformer
la société
d'il y a 2000 ans.
Dans tous
les cas aujourd'hui,
c'est la société
de l'homme blanc
qui doit être
modifiée
ou éffacée.
Il est inconcevable
qu'il n'y est pas
autant de femmes
et d'hommes de couleur
que de blancs à
la tête des
grandes entreprises
françaises.
Injuste que tous
les grands savants,
inventeurs, décideurs,
compositeurs d'oeuvres
de peinture ou de
musique classique,
soient dans la civilisation
occidentale... des
occidentaux blancs.
Cette injustice
doit être
montrée du
doigt et déconstruite.
Place au progressisme,
égalité
des sexes et des
races dans tous
les domaines du
savoir et du pouvoir.
Des découvertes
scientifiques les
plus pointues à
la composition des
responsables de
la planète. Peu
importe les compétences,
toutes les minorités
doivent y figurer
à parts égales
et au gramme près.
Place à l'intelligence
et l'esprit d'entreprendre,
répartis
équitablement
entre toutes les cervelles
des individus de
la Terre,
sans aucun laissé-pour-compte.
Même Petit
Gibus doit être
chef. Fini la
méritocatie,
place à l'utopique
discrimination positive
par le sexe et la
race !
Dans
le monde politique,
le jeu de démolition
de la Cancel
culture est
soutenu par les
écologistes,
la gauche
et surtout l'extrême
gauche qui à
travers ses thèses
sur l'anti-racisme
et l'anti-islamisme
favorise son allié
d'un jour : l'Islamisme.
Lequel a déjà
toute prête
dans sa lecture
littérale
du Coran une nouvelle
organisation de
remplacement pour
la France déconstruite.
Autres
alliés politiques
de poids: les gagnants
de la mondialisation
heureuse, et autres
illuminés
de l'Européanisme triomphant
des nations
historiques, qui
à travers
le Pacte
de Marrakech
ont organisé
les grands flux
migratoires de l'Afrique
vers l'Europe.
On
ne peut pas fermer
ce paragraphe sur
la déconstruction
de la France en
oubliant injustement
notre
actuel Président
de la République
pour lequel "la
France n'a pas de
Culture propre"
et déclarant
à la presse
étrangère
"qu'en France
c'est la question de la race, qui est au cœur même de notre société et qui crée beaucoup de tensions quand des gens sont fondamentalement victimes de discrimination".... "qu'il
fallait déconstruire
la propre Histoire
de la France"
en
repentance
de
notre passé
colonial "qui
est un crime contre
l'humanité",
la France «devait présenter ses excuses à l’égard de celles et ceux envers lesquels nous avions commis ces gestes". Un
woke
prépubère
n'aurait
pas dit mieux que
ce personnage, pourtant
à la tête
d'une des grandes
nations de la planète,
garant à
ce titre de la sauvegarde
du Patrimoine culturel
et historique de
son pays.
_______________
III.
L'envers du décor
Pour
comprendre
les
proportions
prises
par
les
idéologies
radicalisées
de la
victimisation ou
de la
cancel
culture,
l'impunité
ou les
excès
d'intolérance
et la
violence
qui
en découlent,
il faut
avoir
en tête
le terreau
sur
lequel
fleurit
le nouveau
monde
des
minorités
actives
:
1.
le niveau
intellectuel
-
2.
Les
influences
étrangères
: américaines
+ africaines
-
3.
L'université
-
4. Internet
les
réseaux
sociaux
1.
le
niveau
intellectuel Il
est
le point
déterminant
pour
comprendre
l'ensemble
et peut
se résumer
ainsi
: -
Une
baisse
scientifiquement
confirmée
de plusieurs
points
du coefficient
intellectuel -
Une
immaturité
qui
se poursuit
souvent bien
au-delà
de l'adolescence
et entraîne
une
émotivité
juvénile
mal
contre-balancée
par
le développement
du cortex
orbito-frontal
en cours
de formation.
Ces
réactions
émotives
primaires
souvent
violentes
sont
le fonds
de commerce
des
réseaux
sociaux
-
Un vocabulaire
très
réduit
et peu
structuré
ne permettant
pas
d''exprimer
clairement
et de
développer calmement
des
concepts
ou des
échanges
d'idées,
sans
aussitôt laisser
place
à
l'invective. Des
contextes
environnementaux
aggravants
: -
Usage
du cannabis entraînant
une
diminution
visible
de la
matière
grise -
Une
vie
familiale
moins
stable
qu'il
y a
50
ans
avec
beaucoup
de familles
monoparentales
ou recomposées
2.
Les
influences
étrangères,
américaines
et africaines
1.
Américanisation
: Aucun
des
sujets
abordés
sur
cette
page
n'auraient
envahi
la France,
si nous
n'étions
pas
une
simple
colonie
dépendante
de la
culture
américaine.
Tout
ce qui
passe
aux
USA
traverse
l'Atlantique
pour
venir
se coller
sans
filtre
sur
notre
vie
quotidienne. Cette
influence dominante a
remplacé
la culture
gauloise
d'origine. Ceci
entraîne
une
totale
incompréhension
entre
le discours politique
officiel
datant
de l'ancien
monde
et les
jeunes
générations,
dont
la perception
du monde
dès
le premier
biberon,
est
calquée
sur
la vision
fantasmée
d'un
pays
dans
lequel
ils
n'habitent
pas
!
Il
est par exemple vieux-jeu de parler de laïcité à
des jeunes qui ne connaissent
à
travers le web, que le modèle multiculturel anglo-saxon. De
toutes
les
modes
de bouillies
sonores
industrielles
au premier
dessin
animé,
des
séries
policiers-autopsie
aux
niaiseries
à
l'eau
de rose
en passant
par
les
pubs, les
sitcoms
et jeux
de téléréalité,
tout
est calibré
pour un public
américain.
Cinéma,
télévision, streaming, jeux vidéo,
chansons, habillement et modes, tout est importé. A part le Camembert et le pinard, il ne reste plus grand
chose de Brassens sous le soleil.
Même
les
idéologies
à
la mode
comme
celle
de la
victimologie
chronique, du racisme anti-blanc ou du sexisme anti-mâles,
ont
été
inventées
en Californie. L'actualité
est
vue à
travers
Hollywood
et ses
éphémères
gloires
siliconées
sur
papier
glacé
qui
nous
disent comment
se vêtir,
la manière
de nous
conduire
en société,
et même
ce qu'il
est
bien
seyant
de penser.
Comme
si avoir
une
grosse
poitrine
donnait
une
quelconque
autorité
intellectuelle
! Ici
l'ultra-féminisme
déjanté
et l'hyper
antiracisme
victimaire
est
une
vague
géante.
Il est
interdit
d'avoir
une
vision
différente
et de
vouloir
argumenter
ou échanger
des
idées
un poil
hors
des
clous.
C'est
le monde
de l'intolérance totalitaire
et de
l'obscurantisme
puritain
des
sorcières
de Salem.
Celui
qui
est
désigné
du doigt,
verra
son
nom
affiché
à
la vengeance
publique, sera
chassé
en meute,
banni
de la
société.
Il perdra
travail
et famille.
Pour
ces extrémistes woke (éveillées)
tout l'univers
est vu à travers le prisme du sexe et de la race
des individus. La vision du monde, aussi limité
que la cervelle, se réduit ici à
: "victimes ou bourreaux"
2.
Africanisation
:
On constate
dans
la France
d'aujourd'hui,
une
difficulté
à
faire
progresser
nos
règles,
telles
celles
liées
à
l'émancipation
de la
femme,
dans
une
population
importée
dont
les
relations
sociaux-culturelles
ancestrales
du clan
sont
principalement
basées
sur
le rapport
de force
physique,
le culte
de la
virilité et
la domination
de l'homme
sur
la femme. Si
cela
a un
rapport
avec
les
doléances
des
féministes,
il serait
bon
que
ces
dames
le disent
clairement.
Difficile
de totalement isoler la part africaine, car sa culture
est elle aussi de nos jours sous l'influence Noir-américaine. Le
racisme anti-blanc qui règne outre-Atlantique
est venu en France alimenter des théories anticolonialistes
de nos immigrés arabos-africains qui se disent malheureux
d'être venus de leur plein gré vivre sur
notre sol, parfois illégalement.
Dans ce monde
afro-américanisé, le bien-pensant
magazine américain Time a
consacré Gardienne
de l'Année (« qui se met en danger pour défendre les idéaux sacrés de la démocratie»),
une
africaine
(doc)
qui
affiche sur
notre
sol
sa haine
des Français blancs, de notre police et de notre
nation
qu'elle
appelle
à
renverser
:
"En Afrique, ils vont renverser le président, ils rentrent dans le palais. Ça se passe comme ça en Afrique, pourquoi ça devrait pas se passer comme ça en France? Nous sommes prêts, nous pouvons faire une belle révolution".
(video)
On
a même
vu les
partisans
de cette
"Gardienne
de l'année
des
idéaux
sacrés
la
démocratie",
manifester
dans
Paris
au cri
d'Allah
Akbar
!!!.
(source)
A
l'opposé
du Time,
certains
s'interrogent tout
simplement
sur
le droit
du sol
accordant
systématiquement la
nationalité
française
à
des
enfants
d'immigrés
africains
qui
haïssent
la France, Sa
Civilisation,
Sa Culture,
Son
Patrimoine
et Son
Histoire,
au point
de vouloir
en bon
woke
tout
déconstruire
pour
un monde
plus
coloré.
Les mauvaises
langues disent que l'africanisation de notre pays est visible
entre autres dans l'insécurité croissante, l'islamisation, les trafics
de drogue en tous genres,
et les guérillas tribales, dont les rixes armées
sont bien supérieures aux pâles
guerres des boutons de petit Gibus. La lecture des
journaux
leur
révèle
que
pratiquement
tous
les
terroristes
musulmans,
égorgeant
gaiement
sur
notre
sol
au cri
d' "Allah
Akbar",
sont
d'anciens
petits
délinquants
de banlieue,
bien
connus
des
services
de police
depuis
la prime
enfance.
La haine
viscérale
de tout
uniforme
français
se traduit
toutes
les
nuits
par
des
attaques
au mortier
de commissariats
de Police
ou des
caillassages
de
pompiers
dans
des
zones
de plus
en plus
étendues
jusqu'au
centre
des
villes.
Cet
état
de guerre
de harcèlement
contre
la France
devient
si banal
que
l'on
si habitue
(exemple).
Parfois
des
faits
divers
plus
odieux,
une
décapitation
ou un
égorgement
remarquable,
font
accourir
pour
un jour
les
ministres,
on fait
des
discours
sans
jamais
nommer
les
choses
et on
dit
"plus
jamais
ça"
jusqu'au
fait
divers
suivant
où
l'on
refait
semblant
de découvrir
une
nouveauté. Pour
ces
mauvaises
langues,
nous
sommes
assez
proche
d'un
début
de guerre
civile,
dont
l'ennemi
infiltré
de l'intérieur
n'aurait
rien
de Gaulois
et bénéficierait
d'une
impunité
bienveillante.
Des
militaires
pensent
même
que
la situation
est
si préoccupante,
qu'une
intervention
de l'armée
ne sera
pas
à
exclure
(tribune
1,
tribune
2).
Mais il n'est pas légal
de croire tout cela, surtout que ce sont bien souvent
des
accusations
formulées
par
des
personnes
du
Rassemblement
National
contre
lequel
tous
les
partis
bien-pensants, de
gauche
comme
de droite,
qui
ont
gouverné
et
voulu
depuis
60 ans
cette
immigration
de masse,
savent
se liguer
au moment
des
élections
au nom
d'un
"Front
Républicain pour
faire
barrage",
car
avoir
une
opinion
négative
sur
leur
politique
de migration
de peuplement,
constituerait
à
leurs
yeux "un
danger
mortel
pour notre démocratie"
!!!
Pourtant
en voyant
la police
en dernier
rempart
sous
le feu
des
projectiles,
certains
se demandent
s'il
n'y
a pas
un plus
grand
danger
à
fermer
les
yeux
qu'à
pointer
du doigt
les
coupables.
Dans
ce monde
à
l'envers,
contre
qui
faut-il
lutter
? Est-ce
contre
le patriote
qui
voudrait
mettre
fin
à
une
dramatique
escalade
de la
violence
ou contre
les
voyous,
les
dealers
et les
islamistes
qui
chaque
jour
agrandissent
sur
notre
sol
des
enclaves
islamo-arabo-africaines
échappant
à
nos
lois
??? . Pas de lien avec l'immigration dit
la
thèse
officielle.
France
éternelle
terre
d'asile
! N'importe
comment
impossible
d'affirmer
quoique
ce soit
chiffres
en main...
toute
statistique
ethnique
est
interdite
par
la loi
en France
!
Par
contre,
il est
de bon
ton
d'affirmer
que
ce sang
nouveau
est
une
richesse
et une chance pour la France ou que
l'apport culturel arabo-africain est très bénéfique
au niveau par exemple du fond musical, le rapt tenant
désormais le sommet
de tous nos hit-parades, la poésie
lyrique des textes de toutes ces nouvelles et belles chansons françaises
ne laisse pas indifférent
: « Je rentre dans des crèches tuer des bébés blancs. Attrapez-les vite et pendez leurs parents. Ecartelez-les pour passer le temps
et divertir les enfants noirs de tous âges, petits et grands. » Il
n'y a pas de commentaire, j'ai lu que c'était
de l'Art !
3.
L'université
L'université a toujours été
un bouillon de culture plus particulièrement
ancré à gauche au XX° siècle,
trotskiste au temps de l'URSS, puis en col Mao au temps
du petit livre rouge chinois, elle a aujourd'hui remplacé
la lutte des classes par la lutte des races. L'ennemi
n'est plus le capitalisme, mais la race des colonisateurs blancs
de l'Afrique noire et l'islamophobie
de ceux qui refusent de favoriser l'expansion de l'islam
en France !
Cette
croisade contre Le monde des anciens Hommes Blancs, compte
dans ses rangs une partie des 280.000 galopins
(et pines) auxquels on donne le bac tous les ans, et dont le niveau
culturel ne permet pas d'aller au delà
de sujets bateaux, ne demandant aucune compétence. C'est la pléthore des Etudes
de Sociologie, avec en vogue les Postcolonial
Studies, Racial Studies, Discriminnations Studies, Cultural
Studies....
et autres théories de
Cancel Culture
tendant à effacer le passé et le présent
dominé par la culture érronnée et
malfaisante des
blancs. Il faut ainsi déconstruire l'Homme
Blanc encore aujourd'hui
dénaturé par sa vision misogyne et coloniale de la
société.
Cette
idée
de détruire
le passé
et notre
identité
n'est
pas
isolée,
elle
est
même
dans
les
propos
de Monsieur
Macron
Président
de la
République,
qui
appelle
à
déconstruire
notre
propre
Histoire
de France
au nom
de la
race
et du
colonialisme.
(interview
CBS
18 avril
2021)
!!!
|
Tout étant
dans l'ignorance et la mauvaise foi, à aucun
moment il n'est envisagé d'analyser les faits
scientifiquement dans leur contexte historique, mais
uniquement à travers le renforcement d'idéologies bidons.. Ces idées simplistes
s'étendent dans toute la jeunesse, telle Greta Thunberg,
la Jeanne d'Arc préfabriquée de l'écologie,
déclamant au nom de la science et en parlant du déréglement
climatique :
"Des systèmes d'oppression coloniaux, racistes et patriarcaux l'ont créé et alimenté. Nous devons les démanteler."
!!! Aujourd'hui à l'université
pour
lutter
contre
le racisme
on organise
des
réunions
interdites
aux
blancs
!!! Imaginez
le tollé
général
en sens
inverse
à
propos
de ce
racisme
caractérisé.
Les
déclarations de certaines de leurs organisations
tel
Les
Indigènes de la République
laissent rêveur
: « les Français de culture musulmane sont des traîtres,
il n'y a que deux alternatives : être musulman ou être français
» « La perspective décoloniale, c’est s’autoriser à se marier avec quelqu’un de sa communauté",
« une
pureté de la race avec une opposition aux mariages mixtes et au métissage » !!!...
Un comble pour des
gauchistes, Hitler n'aurait pas dit mieux ! (à
lire pour mieux comprendre)
|
Par
contre ces chères têtes blondes woke, pro-black
et pro-Islam, qui crient vengeance au nom de la colonisation,
oublient
en chemin,
par
ignorance
ou idéologie,
des
pans
importants
du sujet.
Voici
donc
quelques
éléments
pour
ne plus
pécher
par
ignorance.
La traite des Noirs
par
les
Arabes.
Pendant 1300 ans,
des
premières
conquêtes
de
l'Islam
au
7e
siècle
jusqu'à
la
chute
de
l'Empire
Ottoman
en
1920, des caravanes de 17
millions d'esclaves
Noirs
ont
traversé
le Sahara vers les pays arabes et leurs harems. On
en
parle
peu
et
peu
de
Noirs
africains
contemporains
le
savent,
car
il
n'y
a
pas
de
descendants
d'esclaves
de
cette
traite
négrière
arabo-musulmane.
En
effet,
les
Arabes
castraient
systématiquement
leurs
esclaves
mâles,
pour
certains
en sectionnant à vif pénis et testicules au ras du
ventre.
lire.
Beaucoup
mouraient
pendant
cette
intervention.
lire
|
|
Les
conditions
de survie
des
esclaves
étaient
inhumaines,
avec
un fort
taux
de mortalité,
car
les
Arabes
considéraient
que
les
Noirs
étaient
proches
du stade
animal
et ne
représentaient
qu'une
forme
inférieure
du genre
humain.
(dans la langue arabe, le
même
mot
ahid
désigne
les Noirs et
les
esclaves) !
C'est
la
colonisation
européenne
qui
mit
un
terme
à
cette
traite
des
Noirs,
sans
contexte
dans
l'horreur,
plus
importante,
plus
longue
et
cruelle
que
celle
vers
les
Amériques. Sur
cette
traite
négrière,
les
Social
studies
sont
muets
et
la
ministre
Christiane
Taubira
préfère
dans
le
déni
de
réalité
se
voiler
la
face
et
masquer
la
vérité,
ceci
afin
que
de
nos
jours
:
"les
jeunes
Arabes
ne
portent
pas
sur
leur
dos
tout
le
poids
des
méfaits
des
Arabes"
!
lire
Le
devoir
de
mémoire
est
à
géométrie
variable
!
|
Lectures
conseillées
: Vérités
cachées
L'esclavage
des
Noirs
par
les
Arabes
Traite
négrière
arabo-musulmane
La
traite
oubliée
Mémoires
de
l'esclavage
|
La traite
des
Noirs
par
des
Noirs.
Elle
remonte
au paléolithique,
c'est
la loi
universelle
du plus
fort
depuis
les
temps
anciens,
elle
n'est
pas
propre
à
l'Afrique.
On fait
la guérilla,
pour
le territoire
de nourriture,
s'accaparer
des
femmes
ou des
esclaves.
|
|
Contrairement
à
ce
que
l'on
croit,
l'esclavage
en
Afrique
n'a
pas
débuté
avec
la
traite
atlantique. Celle-ci,
tout
comme
la
traite
arabe,
a
simplement
ouvert
de
nouveaux
marchés
à
une
pratique
déjà
existante. (à
lire) Au XIXe
siècle,
on estime
à
14 millions
le nombre
d'esclaves
inter-communautés
africaines.
à
lire La
aussi,
c'est
la colonisation
européenne
qui
mettra un
terme
provisoire
à
cet
esclavage
endémique.
Selon
le
Haut-Commissariat
des
Nations
Unis
aux
Droits
de
l'Homme,
il
y
aurait
toujours
des
millions
d'esclaves
en
Afrique
et
plusieurs
associations
humanitaires
ont
aujourd'hui
pour
mission
le
rachat
d'esclaves.
L'une
d'elles
(Timidria),
a
récemment
racheté
au
Soudan
un
millier
d'esclaves
à
raison
de
50
dollars
chacun
dans
la
province
de
Bar-el-Ghazsal. (documents
sur
l'esclavage
aujourd'hui
en
:
Mauritanie,
Soudan
(doc2),
Niger
(doc2),
Lybie,
Pygmées
|
Juste
un
mot
pour
rappeler
à
nos
étudiants
en
postcolonial
studies
que
c'est
aussi
la
colonisation
qui
a
abolit
pour
un
temps
le
cannibalisme
en
Afrique documents
à
consulter
:
doc1,
doc2,
doc3,
doc4,
doc5,
images
|
La
traite
des
Blancs
par
les
Arabes
|
|
Pendant
plus
de 1000 ans,
du
8e
au
18e
siècle, les pirates
barbaresques musulmans ont imposé leur loi sur le bassin de la Méditerranée.
Mais c'est à partir de la fin du
XVe siècle
que les raids de piraterie se sont intensifiés et que la traite esclavagiste des blancs a réellement explosé. Les esclaves européens
étaient capturés soit en mer par les pirates, soit par des raids sur les côtes italiennes, françaises, corses et espagnoles. Les tours de gué sur les rochers et les villages perchés en retrait au-dessus du littoral, témoignent encore de cette époque
dans le Midi.
à
lire Les esclaves étaient emmenés enchaînés vers la côte Barbaresque musulmane, qui s’étend du Maroc à la Libye moderne, foyer d’une industrie florissante de rapt d’êtres humains
et
de
marchés
aux
esclaves de 1500 jusqu’aux
années 1800.
|
Les grandes capitales du
marché
des
esclaves étaient Salé près de Rabat au Maroc, Tunis, Alger, Tripoli. Pendant la plus grande partie de cette période, les marines européennes étaient trop faibles pour opposer plus qu’une résistance symbolique.
Débarqués à terre, les esclaves
blancs enchaînés les uns aux autres par un anneau de fer autour de la cheville, défilaient nus jusqu'à la place du marché, afin que chacun puisse
se faire un avis sur la musculature des hommes ou les courbes des femmes.
Après négociations, les hommes étaient vendus pour les travaux des champs, les tâches lourdes ou répugnantes et également aux galères, cas les bateaux des pirates étaient à voiles et à rames. Ceux-là restaient enchaînés nuit et jour à leur banc et ne pouvaient en bouger même pour faire leurs besoins naturels.
Leur espérance de vie ne dépassait pas quelques années sous les coups des nerfs de boeufs. Malades ou trop faibles ils étaient jetés par-dessus de bord et remplacés sans pénurie par de la chair plus fraîche. La cruauté extrême s'expliquait
aussi par la rivalité entre
la religion
musulmane
et
la
religion
catholique.
|
|
|
|
|
Les plus fortunés étaient mieux traités et revendus contre rançon, tel fut par exemple le cas de l'écrivain Miguel Cervantès, échu comme esclave au corsaire Dali Mami, surnommé le boiteux qui estima la rançon à 500 écus d’or espagnols. Il resta captif à Alger pendant 5 ans de 1575 à 1580, jusqu'au payement de la somme. Pour un peu il n'aurait jamais écrit en 1605, Don Quichote de la Mancha ! A
lire
:
Les
années
algéroise
de
Cervantès
L'Algérie
ancienne
|
|
Les femmes, suivant leurs atouts,
leur
jeunesse ou
leur
virginité,
étaient vendues au marché, comme femme de ménage ou esclaves sexuelles dans les bordels et les harems. Elles étaient excisées d'office. Toutefois, le métier d'esclave sexuelle était bien codifié, la religion ne l'interdisait
pas
mais
le réglementait, Mohamed ayant eu
en son
temps plusieurs
esclaves.
...les femmes faites prisonnières pendant les conquêtes militaires étaient considérées comme esclaves sexuelles...Il est permis de battre la femme esclave comme dans le but de la discipliner (dharb ta’dib : coups destinés à discipliner)...Si elle est vierge, il [son maître] peut avoir des rapports avec elle immédiatement après en avoir pris possession. Toutefois, si elle ne l’est pas, son utérus doit [d’abord] être purifié...Les captives sont distribuées dans le cadre de sa succession selon les lois (musulmanes) de l’héritage, tout comme le reste [de ses biens]...Il est permis d’avoir des rapports sexuels avec une fille esclave non encore pubère si elle est capable de rapports ; toutefois, si elle n’est pas apte aux rapports sexuels, on se contentera d’en jouir sans rapport (c’est-à-dire sans pénétration vaginale). à lire (c'est ce qu'aujourd'hui on nomme viol sur mineure, j'engage fortement les féministes à porter plainte et demander réparation au nom du devoir de mémoire).
En tout, on estime à plus
d'un million de personnes le nombre de Blancs emmenés en esclavage en Afrique du Nord.
|
|
Alger
était
le plus
important
marché
aux
esclaves
blancs
du Magreb,
alors
connu
sous
le nom
de Côte
des
Barbares. Une
des
raisons
de la
colonisation
de l'Algérie
fut
de mettre
un terme
à
la traite
des
Blancs. Donc
avant
d'y
aller
aujourd'hui
présenter
des
excuses
au nom
de la
cancel
culture
et du
devoir
de mémoire,
un mea-culpa barbaresque
serait
en retour
le bienvenu.
Lectures
conseillées
: La
traite
des
Blancs
Le
commerce
d'esclaves
blancs
Les
Blancs
en esclavage
La
traite
des
Slaves
Esclavage
et repentances La
traite
oubliée Esclavage
des
blancs
par
les
barbaresques
musulmans Peintures
de femmes
blanches
en esclavage
Livre:
Esclaves
Chrétiens,
Maîtres
musulmans Voilà
messieurs/dames
les
universitaires,
de quoi
à
apporter
un peu
plus
de variété
à
vos
post-colonial
studies,
car
tant
qu'à
blâmer
exclusivement
les
blancs,
autant
faire
le tour
du sujet. L'ignorance
est
excusable,
la mauvaise
foi
beaucoup
moins.
J'adhérerai à SOS-Racisme quand ils mettront un «S» à RacismeS,
disait Pierre Desproges.
Si nos néo-féministes ne voient le
monde qu'à travers les sexes, nos bambins
postcolonialistes ne voient le présent qu'à
travers un passé tronqué et fantasmé. Cela
pourrait donner à sourire, s'ils ne dictaient aujourd'hui leur loi dans
l'Université, imposant
une culture du bâillon, une censure des autres idées,
livrant même des professeurs à la vindicte
des intégrismes islamistes. Pour avoir prononcé
le mot islamogauchisme des professeurs sont placés sous protection policière
pour échapper au sort de cet instituteur décapité
pour avoir osé parler à l'école de la liberté de penser.
4. Internet et les
réseaux
sociaux C'est
le coeur de tout. La science, à travers le
développement des téléphones portables
et celui de différents logiciels mettant en relation
simple et instantanée tous les habitants de
la planète, a complètement modifié
en moins de 20 ans toutes les relations humaines et
la diffusion des informations. Cela sans aucun recul
ni aucune réflexion sur cette évolution radicale aux conséquences multiples
et non planifiées. Nous
n'avons
encore
aucune
idée
des
modifications
fondamentales,
inédites
dans
notre
évolution
par
sa rapidité
sur
seulement
une
génération,
que
celà
bouleverse
dans
tous
les
domaines,
particulièrement
sur
les
jeunes
nés
avec
un smartphone
dans
les
menottes.
(ou
menottés
à
un smarphone,
si vous
préferez). Rien
du sujet de cette page ne se serait
développé sans cette avancée technologique. En
se limitant aux thèmes de cette étude,
on peut regarder déjà les acteurs participants. Ce
ne sont pas les grands penseurs, philosophes ou sociologues
patentés qui pianotent à tour de bras
leurs idées sur des téléphones. Le gros
du bataillon est composé d'ados et jeunes adultes,
qui puise là, du porno à
la lutte des sexes et des races, tout le savoir que
contient leur maigre
bagage culturel
mondialisé. A partir de cet apprentissage
du monde sur des messages de 2 lignes, ils retweetent
vers leurs amis, sans grand tri toutes
les nouveautés reçues. C'est le monde de la recherche
du buzz choc, peut importe son origine. Tout est bon,
slogans,
vidéos, images, témoignages et autres textos,
du moment qu'ils peuvent faire sensation et rapporter
davantage de likes. C'est ainsi que des milliards
d'idioties
infantilisantes
font
tous
les
jours
plusieurs
tours
du monde. Tout
est gobé y compris une permanente suspicion,
pour ne pas dire paranoïa, de tout ce qui vient
du "monde des grands". Il y a des ennemis
et des complots partout. Les virus et les vaccins sont
des inventions de capitalistes, chinois, martiens ou
forces obscures, faits pour espionner et réduire à
l'esclavage les Terriens !
It seems people today stay young longer and want to stay teenager much longuer than before.
According to some studies adolescence last now from 10 to around 45 years old !
The characteristic of adolescence is to let emotion dominate reason. That's what we find on social network with many epidermal reactions that sometimes ignites with hatred on any topical or societal subject. With often too a lot of intolernce for opposing ideas or positions.
Another characteritic of young people is to put fantastic and mysterial things everywhere. That's the world of Harry Porter, Starwar and most of virtual games... and also by transposing this imaginary into real life by seing everywhere plots made by dark forces that would govern us and would want to harm us. This dark force sometimes call "The system" could match the "strange world of adults" C'est sur ce terrain que nos néoféministes
font part, tel Calinero, de toutes les injustes misères
subies. C'est à qui renchérira et retweetera
le plus. C'est à qui a eu le plus de
mains aux fesses il y a 30 ans à Ibiza, toutes
ont été harcelées, attouchées,
violées, toutes, même les plus moches
qui n'ont jamais rien risqué. C'est ici, que
dans une surenchère de marchandes de poisson,
l'on moucharde, dénonce, pointe du doigt et livre
à toutes les followeuses le nom et les
coordonnées de l'homme à abattre en meute. C'est
dans cette fièvre vengeresse que l'on encourage
même les enfants à dénoncer leurs
parents ! Grace
à l'outil informatique tout est filmé, sans cesse.
Son nombril ou ses fesses, le chat qui pisse, les grimaces
comme les mises en scène. Les ébats
amoureux diffusés plus tard pour se venger, rigoler,
faire chanter ou harceler jusqu'au suicide. Les images
des lynchages comme les humiliations sont jetées
en pâture pour gagner quelques likes et un peu
de notoriété.
C'est aussi sur ce terrain aussi que
des voyous noirs américains vont exprimer leur
haine de la police, vite transmise, à travers le monde, à des hordes
d'ados en mal de cible et
d'idéal. C'est l'outil de travail de nos
djeunes français de banlieue, pour organiser
en un éclair des traquenards et caillasser pompiers
et policiers. Pour fixer le rendez-vous de la prochaine
rixe, souvent considérée, tel au pays,
comme un rituel de notoriété dans l'échelle des
valeurs. C'est ici aussi que l'on improvise et
transforme en émeute tout accident de scooter. De
l'aveu
même
des
"grands
frères"
des
clans
arabes
et africains
de banlieue,
la simple
course
à la
surenchère
de
la notoriété
sur
les
réseaux
sociaux
devient
à
elle
seule
chez
les
12-13
ans,
un élément
moteur
hors
contrôle
de déclenchement
d'agressions
quotidiennes.
Cette
motivation
s'ajoute
et se
confond
aves
celles
liées
à
la protection
et conquête
des
territoires
religieux
ou de
drogue.
Comme tout le savoir
et la perception du monde s'acquièrent ici à
travers un mode virtuel, il n'y a plus de distinction
entre l'imaginaire et le réel, le bien le mal, l'acte fantasmé
ne se différencie pas de son exécution
dans "la vraie vie" Les Anciens s'interrogent
en vain sur les plateaux télés avec des
raisonnements de Terriens, sur des comportements
venant d'univers parallèles à
des années-lumière du plancher des vaches
! _________
Ainsi sont nos 2 mondes qui se regardent aujourd'hui
en chiens
de faïence.
Ils
représentent
pratiquement
à
part
égale,
les
électeurs
qui
se sont
affrontés
aux
Etats-Unis
l'an
dernier,
et ceux
qui
se retrouveront
devant
les
urnes
en France
l'an
prochain.
Soit
autour
des
partisans
de la
souveraineté
de la
nation
et sa
culture,
soit
celui du
choix
du mondialisme
libéral,
de la
dictature
des
sexes
et celle
des
ethnies
africaines,
avec
pour
conséquence
inévitable
les
cinq
i
: Inculture,
Incivilité,
Insécurité, Immigration, Islam.
Voici
Grand
père
le choc
de société
qui
va secouer
ton
vieux
pays.
Thézan
des
Corbières,
avril
2021
|
Avertissement
Ce
petit site n'a pas pour objectif de décrire la
société telle qu'elle est majoritairement
aujourd'hui en France, mais seulement de peindre de manière
parfois caricaturale quelques traits de comportements,
modes de vie ou pensées, difficilement imaginables
au temps de mon grand-père, né en 1880 Il n'est
pas question de comparer et prétendre qu'une
époque est supérieure à l'autre
où de dire que c'était mieux avant, mais
seulement d'évoquer quelques points en terme
de différences. C'est ce mot différence
qui est le fil conducteur à travers les pages.
C'est ce mot différence, un peu galvaudé
dans une société mondialisée où
tout doit s'uniformiser même les idées,
qui a guidé l'auteur. Il y a autant de vérités
que d'individus, alors ils faut se battre pour que chacun
continue d'avoir le droit d'exposer son point de vue,
même s'il est différent de ceux en vogue. Ainsi
que disait Voltaire : « Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire »
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